Bureau du Capitaine Flanigan

A l'autre bout du couloir, une silhouette apparue, pas le genre a impressionner, mais le genre a rester bien droite, et a la démarche certaine. Le jeune garçons, habiller d'une chemise blanche, par dessus laquelle il portait une veste de costard noir, semblait être un nouvelle recrue, a en croire sa démarche hasardeuse et le papier administratifs qu'il ne cessait de relire a chaque intersection!
Arriver face au Bureau du remplaçant du capitaine Connors qui aurait du normalement l'accueillir il souffla un coup, replaça son col et frappa finalement quelques coup a la portes.
Il se permit de l'ouvrir quelques instant après avoir frapper et entre-passa sa tète par l'ouverture pour regarder ce qui se passais a l'intérieur, il aperçus l'homme derrière son bureau, qui ne semblait pas dans un état fait pour travailler.
Il se racla la gorge, dans le but de s'éclaircir la voie puis s'adressa a son future supérieur!

-Monsieur? Je me nomme Scott Hartfield, je vient d'être transférer dans votre service! On m'as dit m'adresser a vous pendant l'absence du capitaine Connors!!

Au fur et a mesure qu'il avait parler, il avait pousser la porte, et finalement celle ci c'était retrouver grande ouverte, le jeune homme se trouvant dans le cadre de la porte, l'air un peu gêner!

Le Capitaine Flanigan, en plein dans un rêve érotique des plus intéressants fut réveillé par une voix importune qu'il n'attendait pas. Il leva péniblement sa tête, un bout de papier collé à sa joue, ne s'en rendant même pas compte.

"- Hein euh quoi ? Vous êtes qui vous ? Si c'est pour le nettoyage du bureau, revenez plus tard... j'ai pas encore fini."

Et l'homme tenta de se rendormir en posant sa tête sur un paquet de feuilles sur lesquelles était marqué "Urgent" ou "Important".

Seattle > Domiciles > Appartement de Roxann Connor

La standardiste que je connaissais depuis un moment, parce qu'elle n'avait pas changé depuis que j'étais arrivée au Central, il y a presque trois ans, me fit un sourire chaleureux et me posa quelques questions pour savoir comment j'allais. Depuis le temps, elle avait appris que je n'aimais pas trop les questions personnelles alors elle se contenta du strict minimum.

Une fois la petite conversation terminée, je décidai d'aller rouvrir mon bureau en espérant que personne ne s'était amusé à forcer la serrure.
Ce fut seulement quand je fus dans la salle en pleine effervescence dû au travail constant de mes inspecteurs que je remarquai une jeune femme devant la porte de Flanigan. Je souris et me dirigeai vers elle.

"- Je ne vous conseille pas de passer cette porte. Lui lançais-je, un peu amusée. Dieu seul sait ce qui s'est passé derrière. Je souris. Vous cherchez quelqu'un peut-être ?"

Melinda fit volte-face et regarda la femme qui venait d'arriver

- Bonjour madame. Je m'appelle Melinda Mordon, je suis ici pour avoir un entretien avec la capitaine. Vous savez si il est présent ?

Melinda lui fit un léger sourire et s'ecarta légerement de la porte

Couloir

Ronan mit quelques secondes pour trouver la porte du bureau du Capitaine Flanigan. Malgré la confiance qu'il s'efforçait d'afficher, il était encore un peu perdu et il ne voulait pas se trouver au mauvais endroit...
Une fois devant la porte, il remit sa chemise dans son pantalon, se recoiffa rapidement, inspira un grand coup et tapa deux coups brefs. Il entendit un son, qui ressemblait vaguement à une voix humaine. Ronan se dit qu'il avait surement entendu "Entrez !", et poussa la porte. Il entra, referma derrière lui et dit simplement:

- Bonjour, je suis Mr Backhouse.

Et il resta debout, devant la porte, attendant bêtement que son interlocuteur lui demande de s'asseoir.

La première chose qui frappa Ronan, ce fut l'odeur. Il s'agissait d'une odeur acre et insidieuse assez indéfinissable, comme un mélange de manque d'hygiène corporelle, de nouriture avariée et de cadavres de rats en décomposition.

Le bureau qu'il avait l'occasion de regarder était jonché de dossiers entre-ouverts, de détritus divers et variés et de magazines de charme.

Un individu doté d'un sérieux problème de poid trônait derrière ce bureau en train de lire un journal de paris sportifs. Il était vétu en civil de manière fort négligée. A la différence de Ronan, sa chemise n'était pas rentrée dans son pantalon et elle ne le serait vraisemblablement pas de sitôt.

Il s'agissait du capitaine Flanigan si l'on en croyait le petit écriteau qui trônait sur l'écran d'ordinateur présent sur le bureau, entre deux boites de donuts vides et une bouteille de biere bon marché à moitié vide.

Il baissa son journal et regarda le nouveau venu.

"Monssieur Backloose ? Et ? Pourquoi vous êtes vous permis de me déranger ? Votre prostituée favorite s'est fait dézinguer ? Vous vous êtes trompé de bureau pour porter plainte. Moi, je suis le capitaine Flanigan, et on ne me dérange que pour les affaires d'importance."

Il replia son journal et se pencha vers Ronan :
"Parce que voyez-vous j'étais justement en train de travailler sur une affaire de la plus haute importance lorsque vous avez osez me déranger ! Savez-vous que je peux demander à mes hommes de vous mettre en cellule pour obstruction à la bonne conduite d'une enquête ?"

Ronan ouvrit grand les yeux devant le spectacle qui s'offrait à lui. Il hésita entre partir en courant ou prendre ça avec le sourire... Il choisit la deuxième option. Il s'approcha du bureau, malgré le regard désapprobateur du capitaine, évitant soigneusement de se prendre les pieds dans les immondices qui jonchaient le sol. Plus il s'approchait, plus il était impressionné par le bordel qui s'était accumulé dans ce bureau. Il eut un pincement au cœur en songeant qu'il se trouvait peut-être en présence de l'un des fondateurs du mouvement Grunge... Il ramassa un magazine, le dernier numéro de PlayBoobs, et fit sembler de le feuilleter.

- Ah, pas mal... Tiens, vous savez que j'ai un ami qui fait des photos pour ce journal ?

Tentative d'approche réussie...? Il jeta le magazine sur une pile qui devait approcher de la taille du pivot des SuperSonics.

- Capitaine Flanigan, vous faites erreur. Je suis là pour prendre le poste d'inspecteur, je viens d'être recruté. Donc il est inutile de faire appel à vos hommes, puisque j'ai l'immense honneur d'être l'un d'eux depuis ce matin.

Il sortit sa carte d'identité, ainsi que sa convocation, et la tendit au capitaine, en priant qu'il n'ait pas les doigts trop gras.

Malheureusement pour Ronan, les mains du capitaine Flanigan étaient particulièrement sales, il venait de manger des frites et des donuts...comme les taches sur la convocation de Ronan ne tardèrent pas à le démontrer.

Il prit les document d'un air distrait, les lit rapidement et répondit :
"Ah, c'est vous dont ils m'ont parlé à l'acceuil ?...Normalement, ils m'épargnent cette corvée...Je suis plutôt sur les coups durs qui ne peuvent être traité par cette femelette de Roxann Connor, du genre botter le cul de ces abrutis de terroristes du FDL."

Il se tourna vers son bureau et prit un dossier entre-ouvert sur lequel on pouvait lire "Affaire SPD vs. Michael Newman et Robert White", la photo d'un homme sur une table de médecin légiste en glissa et tomba aux pieds de Ronan. Il pouvait voir sur cette photo que l'homme avait perdu un oeil et ne présentait pas d'autres blessures.

Sans préter attention à la perte de cet élément du dossier, Flanigan parcouru rapidement la feuille en première page.

"Vous affirmez être inspecteur et pouvoir être à la hauteur de ce commissariat ? Ces faignasses m'ont déposé ce dossier sur mon bureau, comme si je n'avais pas assez de boulot comme cela.
Vous allez me faire avouer ces deux petits voyous et me boucler ce dossier et vous pourrez peut être envisager de faire autre chose que nettoyer mes chaussures jusqu'à la fin de votre carrière. Et il faut qu'ils finissent sur la chaise, ils ont tué l'un des nôtres avec leur carabine."

Il se releva peniblement et enleva les miettes de différents aliments en secouant son pantalon crasseux.
"Oh, eh puis je vous accompagne pour voir comment vous vous débrouillez. N'hésitez pas à foutre des baffes, cette racaille mérite mieux, mais on ne peut pas faire plus à cause des pourris d'avocats qui les défendent."

Il sortit son revolver d'un tiroir de son bureau et le mit dans une poche de son pantalon. Curieusement, ce revolver était la seule chose qui était propre et entretenue dans ce bureau.

Il prit ensuite une bouteille de cognac dans ce même tiroir, en bu quelques rasades au goulôt et la balança, encore ouverte, dans un coin de son bureau.

Puis il se dirigea vers la sortie et alla ensuite vers la cellule D.

Ronan fut surpris de voir avec quelle prestance le gros bonhomme se leva et sortit du bureau. Par contre, son cœur fit un bond en voyant le revolver dans les mains d'un homme qui venait de se siffler l'équivalent d'une canette de cognac.

Ronan laissa passer le capitaine, puis ramassa la photo dès qu'il eut le dos tourné, et la rangea dans la poche intérieure de sa veste. La violence du cliché ne le choquait pas, il avait vu bien plus horrible à la morgue, mais elle aurait peut-être son effet devant deux jeunes ados.

Il sortit de ses réflexions, le capitaine ne l'avait pas attendu. Même si celui-ci avait certainement de la bouteille (difficile de dire le contraire), Ronan n'était pas très serein de le savoir armé en présence de deux jeunes garçons qu'il voyait déjà coupables. Et c'est en courant que Ronan tenta de le rattraper...

Cellule D

==> Couloir devant le bureau de Flanigan

Après avoir pousser la porte, j'aperçois le capitaine Flanigan assis derrière son bureau, tirant une tronche pas possible comme à son habitude. Je rentre puis ferme la porte et je m'approche du bureau en disant:

-Bonjour, je suis l'inspecteur Jimmy Garvey. L'accueil m'a dit que vous voulez me confier une affaire. De quoi s'agit-il ?

La capitaine Flanigan acheva d'avaler un Donuts qu'il fit passer avec une gorgée de Whisky.

Son bureau était toujours dans un état aussi lamnetable que pitoyable, à croire que toutes les femmes de ménages qui avaient vu l'antre du capitaine Flanigan avaient immédiatement décidé de rendre leur tablier.

Le capitaine Flanigan attrapa sur son bureau un dossier sur lequel quelqu'un avait écrit avec un gros feutre "Phénix noir" et le lança à Jimmy dès qu'il eu fini de poser sa question.

"Vous avez entendu parler du Phénix noir ?... Non ?...Depuis combien de temps êtes vous à Seattle ? Il s'agit d'une bande de nègres qui s'amusent à se prendre pour des mafieux...Pour le moment, ils ne nous causaient pas trop de problèmes, car le FDL se chargeait de nous les aligner comme à la fête foraine..."

Il se servit une nouvelle gorgée de Whisky :
"Mais, voilà...on m'a demandé d'intervenir personnellement pour mettre fin aux agissements de cette bande de nazis que sont les membres du FDL...et vous savez comment ça se passe...quand je prend les choses en main...IL Y A DU RESULTAT ! Bilan, le FDL se tient maintenant à carreaux et le Phénix Noir en profite...
Et devinez quoi ?...On m'a demandé de mater cette bandes de noirs racistes...Et c'est là que vous intervenez...cette racaille tire l'essentiel de ses revenus de la drogue, de la prostitution et de quelques casses plus ou moins pitoyables ! Infiltrez-les et empéchez les de vendre leurs poisons ! Et n'hésitez pas à nous les secouer..."

Il se servit un Donuts et le mordit d'un coup rageur, la confiture qu'il contenait gicla un peut partout sur le bureau du capitaine, sans parvenir à le salir...il était déjà si sale !

"Vous avez des questions ?"

Couloir

Décidé, Bouchra rentra dans le bureau, sans trop savoir à quoi s'attendre. En esayant de faire abstraction de l'odeur et du désordre elle s'adressa au capitaine qui la toisait d'une voix assurée.

- Capitaine je suis Bouchra Boubasheer. Je suis arrivée ce matin, mais n'est pu être reçu. Et j'ai été réquisitionnée sur enquête presque immédiatement. D'où présentation tardive.

- Cette foutue Connors m'envoie tous les bleus pendant qu'elle se pomponne...Hips...C'est pas une foutue crèche ici bon dieu !

Il jeta un coup d'oeil lubrique à la jeune femme puis fourra un beignet dans sa bouche, avant de se renverser un tasse de café refroidi sur sa chemise déjà couverte de tâche...Son enthousiasme naissant fit place à une colère explosive

- Bon dieu ! Vous vous croyez sur la scène d'un casino de Las Vegas ? C'est pas un concours de Miss America ici, z'allez me ...hips...faire le ppp...plaisir de venir decement vêtue au central...Rigueur et discipline sont..les maîtres mots de la police de Seattle...Hips...
V'là votre clé et votre ...plaque...Vous passerez à l'armurerie pour chercher votre ...Burp...arme de service...En attendant, débarrassez moi le plancher !

[Dsl pour le retard...]

Toujours debout, les mains dans la poche et doté d'une grande assurance, je regarde le capitaine Flanigan hurlant ma mission. Il me parla des Phoenix Noir, un gang de Black sévissant dans Seattle. C'est vrai que j'en avais déjà entendu parlé, tout comme de l'autre groupe adversaire aux Black Phoenix, le FDL, un groupuscule terroriste neo-nazi ayant fait pas mal de bruit à une époque dans la ville. Avant de venir ici je m'étais pas mal renseigné et ces deux groupes étaient venus à mes oreilles. Apparemment ma mission et de m'occuper du cas Black Phoenix, le groupe tirant du pognon de casses, cambriolages, drogue et prostitution. C'est déjà pas mal, et ça à l'air d'être un groupe très diversifié dans ses activités.

Posant un regard sur le capitaine Flanigan bouffant son donut comme un porc et faisant passer le tout avec un verre de whisky, je lacha un bref soupir et dit:

-J'men occupe...

Un signe de tête en guise de aurevoir, et j'ouvrit la porte, retombant dans le couloir du SPD Center. Bon, je ne connais rien de ce gang, que ce soit de son patron ou de n'importe qui d'autre. La meilleure façon d'infiltrer un gang, est tout d'abord de supprimer son identité. Pour cela je descendis les escaliers du central et atterit dans le labo informatique, serrant la main d'un type à lunette, apparemment le chef de service.

-Inspecteur Garvey, Flanigan m'a confié une mission d'infiltration dans le gang des Black Phoenix, et j'aurai besoin que l'on supprime mon identité, et m'en fabrique une autre. Un fichier carcéral, pour brouiller les pistes et ainsi empêcher cette bande d'abrutis de savoir que je suis flic.

Le type m'affirma que c'était possible et il s'assit devant un ordinateur, tapotant comme un dingue sur le clavier. Je n'y comprend pas grand chose mais l'important est qu'il fasse ce que je veux.

"Bon, comme nom, je vais prendre Calvin Lewis Wallace. Pour ce qui est du casier judiciaire, trafique de stupéfiant et braquage à main armée. Violence sur agent de police et tentative de meurtre. C'est un beau pactole. Pour le traitement de la peine, mettez la à New York. Voila tout, merci beaucoup."

Je serra la main de l'ingénieur en informatique et monta les escaliers pour rejoindre l'open space et m'asseoir à mon bureau. Va falloir que je me débarasse de ma plaque de police, mon seul contact avec la police...plus rien, je dois m'infiltrer dans ce gang et il faut que je garde à tout pris ma couverture. Pour ce qui est de l'arme de service, elle ne va plus me servir non plus. Je vais garder avec moi que mon bon vieux rasoir coupe choux, et voila ma seule arme dans la rue. Une fois mon matos rangé dans mon bureau, je sort du Central et m'arrête à un arret de bus.

Je me grille une clope puis me descide à me diriger dans le quartier Afro-Américain de Seattle, je devrai bien trouvé quelque chose en rapport avec les Black Phoenix.

Vincent Broadus eut l'ordre, le conseil de se rendre au bureau du Capitaine Flanigan plutôt qu'a celui du Capitaine Connor qui avait l'air très occupé.
Il obéissait donc à l'ordre et se rendit au bureau du second capitaine d'un pas rapide et discret...Ce n'était pas le moment de se faire remarqué...Il toqua à la porte.
Avant qu'on vienne lui ouvrir il se prépara correctement...

Personne ne vint ouvrir. Au contraire, Vincent entendit un :
"Entrez, Monsieur l'inspecteur !"

A l'intérieur, le bureau du Capitaine Flanigan était parfaitement propre et bien rangé. Tout les dossiers étaient classés par pile. La pile la plus importante était surplombée par un écriteau "A classer". La pile la moins importante comportait seulement deux dossiers et était surplombé par un papier sur lequel on pouvait lire la mention "Urgent"

Au mur, un certain nombre d'articles de journaux avaient été encadrés : on pouvait y voir que le capitaine Flanigan s'était illustré en tant qu'inspecteur avant de devenir Capitaine. Il avait été un de ceux qui avaient contribué à l'anéantissement du groupe terroriste qu'était le FDL. Le maire avait même délivré une citation spéciale au Capitaine Flanigan pour ses exploits et le fait d'avoir risqué sa vie à cette occasion.

Le Capitaine avait pour sa part, revétu son uniforme de cérémonie qui était parfaitement propre.

En voyant Vincent, il fit une grimace :
"Ah, vous n'êtes pas M. Oliver Harrington de l'OPA ? On m'a prévenu qu'il passerait aujourd'hui."

[HRP : Vincent, vu que tu n'es pas passé depuis deux semaines, j'évacue ton perso du bureau de Flanigan. Tu pourra y repasser à ton retour. ]

Le capitaine Flanigan compris sa méprise et poussa Vincent Broadus vers la sortie :
"Puisque que vous n'êtes pas de l'OPA, ej vous remercie de repasser plus tard ou de voir cette femelle de Roxann Connor."

Et il mit Vincent dehors.

Il s'aperçut alors que Robert Poskus l'attendait devant la porte. Il le dévisagea et secoua la tête :
"Non...vous non plus vous n'êtes pas de l'OPA. Pourquoi me dérangez-vous ?"

La capitaine Flanigan eu un instant d'hésitation, puis il regarda Robert :
"Bien sûr que je suis au courant de l'affaire de Wallace. Vous croyez que j'ignore ce que font les petits délinquants dans cette ville ? On ne me la fait pas à moi, le capitaine Flanigan. L'homme a mit fin au règne de terreur du FDL et qui ne va pas tarder à liquider le phénix noir ! Vous avez quelque chose d'important à me dire...sinon, je suis sûr que le capitaine Connor se fera un plaisir de s'occuper des menues tâches d'intendance comme vous préparer un café, ou relire votre rapport pour enlever les fautes d'orthographe..."

Il avait dit la dernière phrase avec une moue de mépris.

Le capitaine eu un sursaut lorsqu'il entendit le nom du Phénix Noir :
"Et c'est maintenant que vous le dites ? Bien sûr que vous pouvez l'interroger...Euh, non, bien sûr que vous pouvez m'accompagner pendant que je l'interrogerai. Il vous ai dit à quel groupe, il appartenait ? Le phénix ? Le Front de Libération ? Al Quaïda ?"

Et il se dirigea d'un pas décidé vers les cellules d'interrogatoires.