1609 NW 85th Street

Elle lui souria pour le mettre en confiance!

"Ou etiez vous ce matin?"

L'homme répondit simplement:
"Ici, c'est en rapport avec le coup de feu de ce matin ?"

J'étais dans le hall de l'appartement, je voulais éviter tout risque d'intrusion *foutu journaliste, toujours dans nos pattes !*.

-"Cental, ici l'inspecteur Mc Coy, je voudrais qu'on m'envoie immédiatement les gars du coronner pour récupérer la victime... terminé..."

*Les clés de l'appartement de la victime étaient dans le buisson... qu'est-ce qu'elles foutaient là ? ... peut être des doubles ?*

Je me mettais dans le hall et appellais le mari pour que celui-ci vienne à ma rencontre, j'avais encore quelques questions à lui poser.

-"M. Hebtiok, pouvez-vous venir ici s'il vous plait ?r".

Juan Hebtiok s'approcha de Ryan, il pleurait toujours:
"Qu'il y a t'il ?"

Puis il regarda Ryan et vit les clefs qu'il tenait :
"Vous avez trouvé les clefs d'Anna ?"

-"vous me confirmez que ce sont les clés de Anna ? ... Vous en êtes sur ?" Je lui montrais sans qu'il les touche pour éviter la perte d'empreintes hypothétique.

-"Monsieur Hebtiok, vous aviez des relations un peu tendu avec votre femme ?"

Elle sortit un petit calepin pour noter ce que l'homme lui dirait!

"Oui en effet c'est pour le coup de feu de ce matin! Savais quel heure il était lorsque vous l'avez entendu?"

Pour Ryan:

L'homme répondit: "Oui, ce sont bien les clefs d'Anna !" Il sortit de sa poche un jeu de clefs: "Vous voyez, c'est mon jeu de clefs."

"Mes rapports avec Anna étaient assez bon. Bien évidemment, nous avions quelques disputes comme tout les couples, mais c'était habituel.
Quand je pense que nous étions encore disputé hier soir. Je suis parti ce matin, sans que nous aillons pu nous réconciler..."

Et il se remit à pleurer.

Pour Kawai:

Le voisin répondit:
"C'était un peu avant 8H00."

-"Monsieur Hebtiok... j'ai trouvé beaucoup d'ouvrage juridique qui traite de droit civil et notemmet de la procédure de divorce... battiez-vous votre femme ?". J'avais pris un ton serein, je ne voulais en aucun cas qu'il me voit comme un ennemi, un intrus dans sa vie... une vie déjà bien bouleversé...

Pour Ryan:

Juan Hebtiok apparu choqué, stupéfait par la question de Ryan:
"La battre !... Mais... comment aurais je pu la battre... ? Je l'aimais ! Anna... Elle avait beau me titiller avec ses connaissance de droit qu'elle avait acquise lors de ses études, je n'aurais jamais pu la battre pour cela !"

J'étais étonné et essayais de ne pas le montrer.

-"Bien monsieur Hebtiok... aviez vous des soupçons sur votre femme par rapport un amant hypothétique ? Je vous rassure ce n'est qu'une simple question de routine pour mon rapport malheureusement dans mon travail on ne doit rien laisser au hasard... j'espère que vous comprenez." Je voulais me montrer amical et compatissant pour éviter de frusquer le bonhomme.

Pour Ryan:

Juan Hebtiok ne cacha pas sa surprise:
"Un amant ! Elle avait un amant ! Non, ce n'est pas possible ! Pas Anna !"

Et il se mit à pleurer en se recroquevillant sur lui-même.

Elle nota l'heure donné par l'homme dans son carnet!

"8h, d'acord! Qu'avez vous fait aprés avoir entendu ce coup de feu?"

Pour Kawai :

Le voisin fut surpris par la question de Kawai :
"Que voulez-vous que je fasse ? J'ai vaqué à mes occupations quotidiennes. Cela arrive que des voisins abattent des pigeons à la carabine, même si ce n'est pas très prudent. Seulement aujourd'hui, vous êtes là, et votre collègue a dit que Mme Hebtiok était morte."

Kawai fut surprise de la réponse de l'homme!

"Vous voulez dire que vos voisins tirent a la carabine prés des appartements! Mais sinon avant le coup de feu, vous avez entendu des disputes ou quelque chose qui provenait de l'appartement de Mme Hebtiok?"

*Il faudra qu'on m'explique pourquoi personne n'a jamais rien dit!*

Pour Kawai :

Le voisin dit :
"Effectivement, maintenant que vous me le demandez. Il y avait effectivement des cris avant ce coup de feu. Mais je ne me souviens que des cris de femme. Il n'y avait qu'une voix. Je me suis dit que si elle était seule, cela ne devait pas être grave..."

Je m'approchais et posais ma main sur son épaul.

-"Ecoutez monsieur Hebtiok, je suis sincèrement désolé de vous poser tout ces questions... vous n'aviez pas de soupçons, rien du tout ? ... Par contre, je voudrais savoir vous avez quoi comme voiture monsieur ?"

Pour Ryan:

Juan Hebtiok répondit:
"J'ai une chevrolet noire. Je suis VRP. J'ai besoin d'avoir une bonne voiture, vu que je passe mes journées sur la route."

-"Je vous remercie pour votre co-opération avec nous... avez vous de la famille à Seattle ?"

"Il n'y avais qu'elle qui criait! Vous n'avez pas tendus l'oreille pour savoir si elle était vraiment seule ou non! Avouez que c'est plutot bizarre une femme qui crie alors qu'elle est toute seule! A moins que ca ne vous ai pas éfleuré l'esprit sur le moment!"

Elle notait absolument tout sur son calepin!

Pour Ryan:

Juan Hebtiok répondit en pleurant:
"Non, c'était ma seule famille à Seattle..."

Pour Kawai:

Le voisin répondit:
"On voit que vous ne connaissiez pas Anna Hebtiok. Cela lui arrivait de crier toute seule pendant la journée. Au début, on s'étonne, puis après on s'y fait...A part cela, j'ai autre chose à faire qu'espionner mes voisins, même si cela vous semble bizarre !"

"Oui je comprend mais il y a des gens qui le font naturellement donc je voulais savoir si vous fesaiez partie de ces gens la! Au faite est ce vous qui avez prévenu la presse?"

-"Bien monsieur Hebtiok... écoutez... je ne sais pas... si vous pouvez pour le moment réintégrer votre appartement vous comprenez ?" J'étais très péné de la situation...

Pour Kawai :

Le voisin répondit:
"Oui, c'est normal que j'avertisse mes collègues lorsque quelquechose à lieu, même si je ne travaille pas à la rubrique faits divers."

Pour Ryan :

Juan Hebtiok fut surpris:
"Vous voulez dire que vous me mettez à la rue ? Est ce que vous m'autorisez au moins à voir une dernière fois ma femme ?"

La réponse ne m'étonnait pas *apparement il aimait profondément sa femme...*.

-"Ecoutez monsieur, je ne peux pas faire cela... mais je vous assure que nous allons faire le plus vite possible pour mettre la main sur l'individu... je vous donne ma parole..."

Au moment ou je finnissais ma phrase, des agents arrivèrent enfin sur les lieux du crime. Je leur indiquais le lieu du crime et leur confié les indices receuilli. J'étais fasciné par ce spectacle... certains s'afférés à chercher les empreintes avec leurs pinceaux, d'autres fouillaient encore les pièces, certains prenaient également des photos sur tout les angles. D'ailleurs, j'indiquais au photographe de prendre des photos du balcon, de l'angle au j'avais vu la voiture et le contre bas. J'essayais plus au moins d'aider malgré mon manque d'expérience. Mais je fus tirer de mes contemplations par un homme...

-"Elle est où la cliente !" ...c'était un des gars du corroner... J'étais un peu dépité de la réflexion de cette individu et lui indiquais le salon.

Je sortais de l'appartement et me dirigeais vers un autre appartement pour récolter des témoignages, je ne fis pas attention au numéro, je prenais le suivant... *Kawai c'est engouffrée dans celui-ci... attaquons nous à celui-ci !"

[HRP : J'espère que j'ai pas trop exagéré, mais j'en avais marre d'attendre un docteur pour la victime et je voulais surtout faire avancer la situation... si ça ne va pas je suis près à modifier le tout. ]

Pour Ryan :

Juan hebtiok avait le regard vide:
« A quoi bon... Maintenant qu'elle est morte plus rien n'a d'importance... »

Et il se mit à pleurer.

Le gars du coronner se mit à regarder le coeur. Il hurla à l'attention de Ryan :
« Eh bien, elle a été saigné comme un cochon ! Pour la cause de la mort, on ne va pas avoir à se fatiguer. Il s'agit d'une hémorragie ! Apparemment, elle s'est vidée de son sang assez lentement pendant a peu près... 2 heures, puis son artère s'est rompue et cela l'achevée ! »

Ryan frappa à la porte de l'appartement n° 115. Personne ne répondit.

Le gars du coronner continuait à hurler :
« Votre tas de viande a été définitivement refroidi un peu avant 10 heures, d'après la température. Wouhaa ! C'est quoi toutes ces blessures ? Elle a dégustée ! »

Personne ne répondait à l'appartement n° 115.
Ryan vit que Juan Hebtiok était effondré à cause des réflexion du gars du coronner.

Celui-ci en rajouta :
« Elle était sado-maso, cette femme ? C'est original se torturer avec un fer à repasser ! Sérieusement, c'est normal qu'elle ne porte exclusivement que des traces de blessures qu'elle aurait pu se faire elle-même ? »