[SPD] Bureau du Capitaine

*Ouille pas commode….*

J’étais rester droit et j’ai failli sourire à sa phrase « pas la peine de me faire le salut militaire» dans mon pays dans la police les subalternes salut leur supérieur. J’ai jeter un coup d’œil furtif sur le chient avant de prendre la parole

*Belle bête.*

"Je me présente ici avec mon statu de mon pays dans ce pays je recherche le post de scientifique balistique. J’ai demandé mon transfert ici car j’ai eu l’honneur de suivre des enquêtes de votre central à mon école et elles mon beaucoup plus intéresser que les enquête des autres pays ou d’interpole."

Je savais que parler école servait à rien et qu’elle devait sûrement avoir vu mon dossier

« Je viens vous demander de devenir votre subalterne pour moi c’est une expérience unique de travailler pour une police de ce renommé. »

Je souris à sa dernière phrase. Intéressant s'il aspirait à n'être que mon subalterne. Mon sourire s'élargit.

"- Bien donc vous êtes scientifique ? Drôle de reconversion. Mais bon ici vous êtes de toute façon polyvalent."

Je le dévisageais pendant quelques secondes en le fixant intensément. C'était mon boulot après tout.

"- Des commentaires ?"

Je sentais qu'il essayait de garder son calme mais il ne pouvait me leurer, il stressait et c'était normal, je continuais un peu pour voir ses réactions.

J’avais pas bouger de ma place initiale, j’avais remarquer son sourire mais je savais que je devais pas relâcher et j’ai tenté de rester bien tant que mal droit.

"- Bien donc vous êtes scientifique ? Drôle de reconversion. Mais bon ici vous êtes de toute façon polyvalent."

« J’ai était former pour diriger un Commissariat de banlieue mais je n’aime guerre de dirigé des hommes et de leur dire d’aller au casse pipe ou non. En parallèle j’ai suivit une formation de balistique et cela m’intéresse énormément. Mais il est clair que si mon aide et réclamer pour enquêter se sera avec plaisir que j’accepterais.

"- Des commentaires ?"

« Non madame ! »

*Obésisant et qui n'aime pas diriger ? Ah la la mais c'est quoi ces français ?*

"- Bon ok. Tenez vos clés de vestiaires. Gardez toujours votre portable et votre bipper sur vous, on ne sait jamais à quelle heure vous serez appelé."

Je lui lançais un dernier regard puis ajoutais.

"- Bonne chance quand même !"

Je m’étais avancé et prit les clefs

« Merci Madame »

J’allai sortir quand juste avant d’ouvrir la porte je m’étais retourner vers le Capitaine et lui fait un salut militaire comme elle dit et j’ai quitté le bureau direction les vestiaires.

[HJ : Désolée, je ne commence à jouer que maintenant, mais j'ai eu mes exams...]

J'entrais dans le Central de la Police de Seattle. A l'accueil, je demandais la direction pour rejoindre le bureau du capitaine Connor. Une jeune femme m'indiqua charitablement la marche à suivre. Je regardais ma montre : il était près de 21:30. C'était tard, certes, mais j'avais du travailler toute la journée, et je n'avais pas eu un seul instant de libre pour venir voir le capitaine de la police de Seattle.

Après avoir traverser quelques couloirs, j'arrive enfin devant la porte du bureau du capitaine. Je frappe légèrement mais assez fort pour que l'on puisse m'entendre et j'attends que l'on m'ouvre.

J’arrivais devant la porte du Capitaine et j’au remarqué que je devrais attendre mon tour avant de pouvoir lui parler je m’appuie contre le mur face à la porte et attendre

« Bonsoir »

J'entendis quelques coups sur la porte. *Ah c'est bien ma veine, j'aurais du rester chez moi.* Oscar reniflait déjà la porte attendant que je dis d'entrer à la personne se trouvant derrière.

"- Reviens ici, c'est pas le moment."

Je re-baissais la musique toujours rechignant à l'éteindre puis me rassis à mon bureau.

"- Entrez."

Tandis que j'attendais que la porte s'ouvre, un jeune homme s'approcha. Je lui répondis lorsqu'il me salua puis, quand j'entendis la voix du capitaine, j'ouvris la porte et entrais. Il y avait une petite ambiance musicale ainsi qu'un chien. Je n'avais pas particulièrement peur des chiens, mais, les animaux, c'était pas mon truc.

Je me dirige vers le bureau du capitaine, réajustant mes lunettes.

"Bonjour, Capitaine Connor. Je suis Victoria Garner, avocate."

Une jeune femme en tailleur se présenta devant moi.

"- Bonjour, Capitaine Connor. Je suis Victoria Garner, avocate.
- Je vois ça."

Elle était un poil mal à l'aise, sûrement à cause de l'ambiance : un chien, une musique de fond... il ne manquerait plus que des plantes pour faire *hippies*. Je soupirais en voyant l'heure tardive et commençais l'entretien.

"- Bien. Que me vaut la visite d'un avocat chez moi ? En quoi croyez-vous nous être utile Miss Garner ?"

Et rebelotte. Quelles étaient ses qualités, ses défauts, ses méthondes de travail, en 10 minutes je saurais tout.

Le capitaine n'avait pas l'air de très bonne humeur mais cela se comprenait, elle devait travailler depuis je ne sais quelle heure. Je ne fis pas attention à la première remarque et me concentrais sur la question de Roxann Connor.

"- Bien. Que me vaut la visite d'un avocat chez moi ? En quoi croyez-vous nous être utile Miss Garner ?"

J'étais plutôt étonnée. Je pensais que ce serait elle qui m'aurait dit ce que j'avais à faire et si je pouvais lui être utile. Mais je ne m'en formalisa pas et je répondis franchement.

"A dire vrai, je pensais que c'est vous qui me le diriez. Mais je peux vous être utile par mon statut d'avocat. Je pourrais vous aider sur certaines affaires, j'ai eu plusieurs fois l'occasion de travailler sur des affaires d'ordre criminel. Et je suppose que vous préféréz les avocats qui connaissent les causes et les détails des affaires plutôt que ceux commis d'office. Maintenant, si vous n'avez pas besoin de moi, je m'en retourne aussitôt."

Mon ton n'était pas aggressif ou froid mais je devais me préparer à toute éventualité. Je n'allais peut-être pas dans le sens du capitaine mais je suis comme ça...

*Elle a du mordant la jeune demoiselle !* C'était une bonne chose, je n'aimais pas les pleurnicheuses de toute façon.

"- Bien je vois que vous avez certaines qualités... comment vous procédez en général ? Parce-qu'en théroie c'est vous qui libérez les criminels que nous mettons en taule Rolling Eyes

"

Je la regardais intensément mais elle ne semblait pas flancher... enfin pour l'instant.

Sa faisait plus de une demi-heure que j’attendais devant la porte je commençais à fatiguer

*Vu l’heur je pense que je vais être bien accueillit par le capitaine …*

Je remarquais Massard par la vitre de ma porte. J'allais lui dire d'entrer quand mon téléphone portable sonna.

"- Connor.
- ******
- Papa ? C'est Simon c'est ça ?
- ******
- Bien je lui parlerais. En ce qui concerne cet incident je vais m'arranger mais dis lui que c'est la première et la dernière fois !"

*Et Merde !*

"- Désolée Garner, on en reparlera un autre jour. Il est bientôt minuit rentrez chez vous."

Je donnai un pass à l'avocate fraichement arrivée pour qu'elle puisse accéder sans problème au Central et passai devant Massard.

"- Quoique vous ayez à me demander Massard faites le demain, j'ai un imprévu."

Je verrouillai précipitemment mon bureau et sortai du Central.

J'arrivai miraculeusement à 8 heures piles et ouvrai mon bureau. Je m'effondrai sur mon fauteuil, priant pour que personne ne vienne me déranger. Je sentais pourtant que le calme apparent régnant au SPD n'allait pas durer...

8h05 Devant le bureau du capitaine

"toc…toc…toc"

*Qu'est-ce que je disais .* Même pas 5 minutes que j'essayais de me rendormir que quelqu'un frappa à ma porte. Je levais la tête qui était auparavant enfouie dans mes bras et l'appuyait sur mes mains. J'avais une mine à faire peur à un fantôme.

"- Entrez..." grognais-je vaguement.

A l’ordre du capitaine j’ai ouvert la porte et entrai dans le bureau. Je l’observais un moment

*La pauvre… elle a du avoir une salle nuit vus comment elle est partie précipitamment*

"Bonjours madame… Je voulais vous demandai, doit-je récupérait un badge ou je dois sortir tous mes papiers à chaque fois qu’on me demande si je suis du central"

J’essayais de parler très calmement pour pas la brusqué.

Je le regardais un moment puis d'une voix lasse je lui répondis.

"- Le code d'accès qui vous permet d'entrer dans le Central est inscrit sur le porte-clés de vos clés de vestiaires. Votre laisser passer vous sera envoyé par la poste dans les prochains jours. D'autres questions ?"

Je n'attendis pas sa réponse bien longtemps et je me levai en direction de la porte.

"- Vous avez eu le temps de voir la salle de repos ?"

*Quel con je suis…*

Elle s’était levée

«Désolé de vous avoir dérangée, je n’ai pas d’autre question. »

« Vous avez eu le temps de voir la salle de repos ? »

«Non je n’ai pas encore visité la salle de repos et pardonnez-moi mais j’allais vous inviter à prendre un café ou à vous en rapportez un. »

J’étais un peu mal a l’aise par ma phrase et je crois qu’elle s’en était rendu compte.

*Le dernier qui m'avait invité prendre un café... et puis merde...*

"- Allons-y alors..."

Je sortis de mon bureau et l'invitai à me suivre. *Il manquerait plus qu'il se perde *

J’ai fait un léger sourire

« Après-vous »

Je la suivais jusqu’a la salle de repos.

Je revenais à mon bureau en me promettant de surveiller de près ce Massard. Je m'installais à mon fauteuil et commençais à lire quelques dossiers. Je n'arrivais cependant pas trop à me concentrer. Ce que j'avais senti à propos de mon nouveau scientifique m'inquiétait. Je voulu me sortir ça de la tête et pour ça j'allumais la chaîne hi-fi. Ca me détendrait...

Au bout d'une heure mon estomac commençait à gargouiller. Je me levais me dirigeant vers la porte pour aller me prendre un truc à manger quand mon téléphone sonna. J'hésitai quelques secondes me demandant ce qui se passerait si je ne répondais pas puis finis par décrocher.

"- Connor.
- ******
- Ca faisait longtemps... c'est quoi le topo ?
- ******
- Ok on arrive."

*C'est bien mon jour aujourd'hui.* Je sortis de mon bureau et accrochai une nouvelle note d'enquête à l'intention des membres du SPD.

Je revenais dans mon bureau et il était déjà 16:30. *J'ai du manquer pas mal de trucs mais... ça valait le coup !* Un sourire s'afficha sur mon visage et je soupirais de plaisir. J'allumais le chaîne HI-FI et une musique d'ambaince envahit la pièce. Je me plongeai ensuite dans les derniers dossiers arrivés sur mon bureau ce matin.

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