[INFRA] Hôpital Principal

-"Je ne sais pas. Peut-être que tu possède naturellement les anticorps pour lutter contre le virus. Il a donc été détruit sans que less médecins puissent le détecter. On peut dire que tu es chanceux."

Je baisse la tête et ris.

-Chanceux...je ne l'ai jamais été...

Soudain, je repense à mon enfance à Détroit.

Enfin bon, l'importance c'est qu'on s'en soit sortis.

Je vis que mes paroles l'avait blessé.

(Voilà t'as gagné ! Pourquoi t'as dit ça encore, des fois je me donnerais bien des claques.)

Puis je sentis que quelque chose coulait de mon nez une nouvelle fois. Je prit un mouchoir et vit que c'était encore mon sang. Je levais les yeux vers Kesto qui me regardais.
-"Désolée."

Une nouvelle fois, Alice saigne du nez. Je n'aime pas la voir comme ça et je ne sais pas quoi faire dans ces cas-là.

-"Désolée."

*Ah minnce , je dois faire quelque chose. Mais quoi ?*

"-Alice, ça va ?"

"-Alice, ça va ?"
-"Oui ca va. Ne t'inquiiète pas pour moi. Faut que je m'habitut a saigner comme ca.Bon qu'on ne risque plus rien, faudrait qu'on retourne au central. Mais vu l'heure tu dois avoir faim."

-"Oui ca va. Ne t'inquiiète pas pour moi. Faut que je m'habitut a saigner comme ca." Bon qu'on ne risque plus rien, faudrait qu'on retourne au central. Mais vu l'heure tu dois avoir faim."

J'ai envie de rester avec elle plutôt que d'aller jouer mon affamé sans coeur dans un des snack de la ville sachant que Alice saigne sans arret.

-Non ,la nourriture attendra...

Je regarde ma montre et effectivement,on doit rentrer au Central.

-Non ,la nourriture attendra...
-"D'accords comme tu veux. Je te rammène ?"

-"D'accords comme tu veux. Je te rammène ?"

Je regarde à nouveau autour de moi .Je suis encore nouveau dans cette ville et je ne connais pas le chemin du central.

"-Euh..."

Je lui souris

"-...Pourquoi pas ?"

Je me tourne vers Ryan.

"-On se retrouve au Central..."

Puis Alice et moi, nous partons en direction de sa voiture.

"-Wouaw ! Belle voiture, tu as bon goût !" riai-je

"-...Pourquoi pas ?"
-"Ok ca marche."
On se dirigeais vers ma nouvelle voiture.
"-Wouaw ! Belle voiture, tu as bon goût !"
-"Oui on m'a bien conseillé" lui dis-je en souriant.

Raven avait eu vent d’un accident qui c’était passé le matin et se rendit à l’hôpital.

« Bonjour, inspecteur clancy du SPD pouvez vous m’indiquez la chambre d’un officier de police qui a était transférait ici se matin »

« Oui Mrs attendait…. A oui Mr massard chambre 613… cependant Mr massard a subi un traumatisme et est actuellement dans le comas »

« … Merci »

Raven quitta l’accueil et appelle son capitaine

« Allo capitaine ? C’est Raven je suis a l’hôpital principale vous avez un homme dans le comas… »

J'arrivais sur place en moins de 10 minutes et m'avançai vers l'accueil où je reconnu Clancy. J'avais envie de passer mes nerfs sur quelqu'un mais le pauvre Clancy ne semblait pas avoir le moral.

"- Vous auriez au moins pu me dire qui c'était au téléphone ! Alors qui est-ce et que s'est-il passé ?"

J'attendais la réponse avec impatience. J'avais envoyé une équipe sur le terroriste mais ils avaient terminé sans trop de casse, il n'y avait pas eu de blessé. Je me demandais vraiment quelle enquête avait foiré. *Harrisson va encore me passer un savon...*
J'espérais quand même que la personne dans le coma allait s'en sortir car même si la plupart étaient des nouveaux, je n'avais pas le droit de les laisser tomber.

Raven vit Roxane arrivait les nerfs en pelotes

*oula ….*

"- Vous auriez au moins pu me dire qui c'était au téléphone ! Alors qui est-ce et que s'est-il passé ?"

« Bonjours capitaine. Les Médecins mon dit qu’il était hors de danger mais ils ne savent pas quand il va en sortir. Sinon c’est… Ah oui le scientifique Massard Alain… il a était retrouver au abord de la 72eme prêt d’un jardin d’enfant. D’après les témoins il aurait poussé une gamine du passage piéton avant qu’une bagnole la percute. Et c’est lui qui c’est prit la bagnole.

*… il à du courage ce mec la quand même.*

Clancy se rapproche de Connor. Il pose une main sur l’épaule puis l’autre sur son autre épaule

« Sa va aller Capitaine ? A croire que c’est plus que un collègue se type-la ! »

Sa se voyait bien que le capitaine avait quelque chose pour ce Massard.

Je le vais les yeux vers lui et ne put m'empêcher d'ête froide.

"- Ca va très bien et mêlez-vous de vos affaires !"

Comment voulait-il que je réagisse ? Un de mes hommes était dans le coma, ça m'aurait déjà suffit à me sentir mal, mais là c'était Massard. Je baissais les yeux et me reculai, ses mains glissèrent de mes épaules et je m'appuyais contre le mur.
Il me fallait le temps de réaliser, il était dans le coma, ça voulait dire qu'il pouvait y rester indéfiniement ou aussi en sortir sans aucun séquel. C'était cette attente qui m'insupportait, je ne savais pas ce qui allait se passer et je détestais ne pas pouvoir tout contrôler.
*Allez boues-toi ! Fais quelque chose ! Ne restes pas plantée devant Clancy ! Il ne faut pas que tu le laisses te voir comme ça !!* Les yeux toujours dans le vague je pensais à Massard, il avait sûrement de la famille, en France, des amis, quelqu'un à appeler...

"- Il faut prévenir ses proches... lançais-je sans regarder Clancy. Je vais m'en occuper... et vous retournez à votre enquête..."

La peine que j'avais s'en ressentait dans ma voix et c'était pour cela que je ne voulais pas qu'il reste, pas avec moi dans les parages.

"- Il faut prévenir ses proches... lançais-je sans regarder Clancy. Je vais m'en occuper... et vous retournez à votre enquête..."

"ok"

Clancy tourne le dos à Connor

"Si vous avez besoin d'aide je suis dispo j'ai rien à faire en ce moment..."

Clancy sort.

Les yeux qui se lèvent lentement donnant vue sur le plafond blanc de la chambre.

*Ou suis-je ? *

Les jambes endolories la bouche pâteuse le dos en vrac… Je bouge à peine mes bras et mes mains. Un tuyau dans mon nez je l’arrache ainsi que l’aiguille dans mon bras. Je tente de me levé je tombe à terre. Ce qui à pour effet d’arracher les ventouses qui étaient sur mon torse et fait résonner un bruit désagréable dans mes oreilles. Je comprends rien et je vois des gens ouvrire ce qu’il me semblait une porte. Un homme d’apparence vient vers moi aider par un autre me repose sur le lit.

« Mr massard ?! Vous allez bien ? »

« Euh.. ou..oui.. ou suis-je ? »

« Vous êtes à l’hôpital Mr restez calme… tous va bien ce passer… »

Je sens une aiguille dans mon bras et mes yeux se referment lentement.

J'avais à peine fais 10 mètres en direction de l'accueil que je vis des médecins et les infirmières se précipiter vers la chambre de Massard. Mon sang ne fit qu'un tour et je rebroussai chemin aussi vite que je pû. Je voulu demander aux docteurs ce qui se passaient mais je n'eus aucune réponse et la porte me resta indéfiniement close. Je patientai pendant ce qui me sembla être des heures puis enfin une blouse blanche fit son apparition, je me précipitai littéralement sur lui.

"- Comment va-t-il ?!
- Vous êtes sa femme ?
- ...
- Est-ce que vous êtes un proche de Mr Mssard ?
- Je... je non je suis son supérieur mais...
- Désolée madame mais je ne peux communiquer que ce genre d'informations aux proches."

Et il partit me laissant dans mon désarroi. Je m'assis sur la chaise à côté de la chambre et patientai encore en espérant que quelqu'un daigne enfin me dire ce qui s'était passé...

Le noir laissa place au blanc lumineux qui m’ébloui des que mes yeux se réveille. Toujours la même pièce.. *l’hôpital ? Pourquoi ? *. Mes jambes toujours engourdies je tente en mouvement mais impossible. J’attrape le bouton qui se balancé au-dessus de moi et y appuis.

Quelque minute plus tard une femme entre dans la pièce. Fatigué je vois mal la personne

« Roxann ? »
« Bonjour Mr masard! Bien dormi?”
“Euh… oui…”
« Bien… ne vous en faite pas vous aller retrouver votre mobilité mais cela va prendre un peu de temps… je vais aller chercher le médecin… »

La femme ressortie de la chambre et j’attendis une éternité dans mon lit.

J'arrivais à l'hôpital un quart d'heure plus tard. D'ailleurs j'avais du roulé légérement au dessus de la vitesse autorisé. Mais je m'en mauquait. J'entrais dans le hall d'entrée et me dirigea ver sl'accueil. Mais manque de chance il y avait 5 personnes devant moi.

*C'est pas vrai. Il ne manquait plus que ça !*

Décider à ne pas attendre, je regardait autour de moi et vit deux femmes juste à côté de l'accueil. Je couru vers elle.

-"Escusez-moi."

Mais les deux femmes continuaient de discuter.
-"Escusez-moi !"
Toujours rien.
-"Dites ca ne vous ferais rien de me répondre !!"
Les deux femmes se retournèrent et me regardèrent avec un regard noir.
-"Vous désirez ?"
-"Vous avez du recevoir un homme d'une trentaine d'année. Il a été victime d'une agression."
-"Vous savez, il y a l'accueil pour ça !"
Je la regardais droit dans les yeux et m'approcha d'elle.
-"Ecoutez moi bien ! Je n'ai pas de temps à perdre avec von protocoles d'accueil à la noix !! J'ai passez une très mauvaise journée, je suis à bout de nerfs et en plus de tout ca alors si vous voulez pas que je passe mes nerfs sur vous, vous allez me donnez le renseignment que je demande !! C'est clair !!"
La femme me regarda puis alla chercher une feuille.
-"Chambre 213."
-"Merci !"
Je me dirigea vers le numéro et vit un médecin devant la chambre.
-"Je peux vous aider mademoiselle ?"
-"Oui je souhaiterais voirle patient de cette chambre."
-"Vous êtes de sa famille ?"
-"Non mais..."
-"Désolé mais seul sa famille est autorisé à le voir."
La je sentit la colère monter d'un cran.
-"Je veux le voir !! vous entendez ? !! Laissez moi passer !"
J'avais hurlé si fort que tout le monde se retourna.

Un hurlement de femme me sortis du sommeil, je faisais un rêve merveilleux en plus. Cette voix me fais sourire parce que je la reconnais immédiatement : c'est celle d'Alice et elle semble énervé. Le medecin voulait pas la laisser rentrer mais elle insiste ce qui me touche énormement. Elle a du courir vers l'hopital dès qu'elle a su que j'étais ici, et vu l'horloge accroché sur le mur, ça doit faire à peine vingt-cinq minutes que je suis là.
J'allais me lever, mais malheureusement, il y a toujours ces foutu fils qui me collent à la peau et au nez. J'ai levais la voix plus haute que d'habitude, sans crier, pour que le medecin m'entende.

"-Monsieur, si vous ne la laisser pas rentrer, c'est vous qui risqueriez d'être à ma place une fois que je serai rétabli ! "

Je m'impressionne là, je n'ai jamais été aussi agressif envers les gens. Mais là, fallait pas abusé. A croire que la vie dans les banlieue m'avait servi pour ce coup là.
Le docteur laissa rentrer Alice et rentre à son tour. Mais il se passe quelques chose d'étrange : quand il a vu le regard que je lui jetter, il fit demi-tour.

" - Sacrée journée , dit-moi... " lui souriai-je toujours en étant allongé.

Le médecin ne voulais pas me faire entrer dans la chambre de Kesto. Je m'appretait à dire quelque chose quand une voix sortit de la chambre. C'était celle de Kesto.

"-Monsieur, si vous ne la laisser pas rentrer, c'est vous qui risqueriez d'être à ma place une fois que je serai rétabli ! "

Je sourit. Il était vivant. Le médecin me laissa entrer. Je vis Kesto allongé avec des fils branché sur sa poitrine.

" - Sacrée journée , dit-moi... "
Je lui sourit. Il n'avais pas perdu son sens de l"humour.
-"Oui, tu l'as dit. Ca va ?"