[DOM] maison de Kesto Gar

- Il y a un parfum de thé, que tu prefères ?
-"Et bien j'aime tous les thès mais j'avoue que j'ai une préférence pour le citron."
Dis je en souriant.

Kesto arriva avec le plateau qui contenait les deux tasses fumantes et le sucre.
L'odeur du café et du thè commencèrent à se répendre dans la pièce. Je vis que Kesto n'arrêtait pas de sourire. Il devait être content. Mais pourquoi ?
*Tu te poses trop de question ma fille, tu débloque !*
Je pris ma tasse en prenant soint de ne pas me brûler, maladroite comme je suis, ca ne serai pas la première fois.
Je pris entre mes doigts le petit bout de cartons attaché à la ficelle du sachet de thè et faisait tourné le saché dans l'eau. J'adorais faire ça, j'aimais voir le thè se répendre dans l'eau sous l'effet de la force centrifuge que j'exercais.
Je regarda Kesto toujors avec le sourire.
-"Merci pour le thè. Il à l'air d'être bon."

-"Merci pour le thè. Il à l'air d'être bon."

"-Surement...^^ "

Je soulève ma tasse de café et la pose en dehors, sur la table. Je mets qu'un seul sucre, vu le taille de la tasse. J'y prend aussi, sur le plateau, une cuillière et tourne le café avec.

"- Tu as laissé ta soeur seule chez toi ? " Riai-je

La pauvre.
En même temps, je bois quelques gorgée du café avant de le reposer, toujours en douceur, sur la table.

"- Tu as laissé ta soeur seule chez toi ? "
-"Oui, mais je m'en fait pas pour elle." dis-je en souriant.

April devait surêment être en train de fouiner dans mon studio, en train de chercher je ne sais quoi, juste par curiosité.
Je me rapelle quans nous étions adolescentes. Elle n'arrêta pas de fouillé dans mon journal intime. Quand j'y repense, c'était plus un journal intime, elle faisait exprès de dire à mes parents ce qu'il y avait dedant. Je l'aurais tuée.

-"Sinon ça fait longtemps que tu es à Seattle ?"

-Pas vraiment non. Je suis là depuis Samedi seulement. Et il se passe tellement de chose en cinq jours ! "
-"Oui c'est sûr."

Je le vis me sourire. C'était bizarre, depuis que j'étais chez lui il n'arrêtait pas de sourire. Bien que ça ne soit pas du tout désagréable je trouvais ça ...bizarre.

"- Alice, je dois t'avouer quelques chose... "
Je le regardais, attendant ce qu'il avait à me dire.

-Voilà ,depuis que je suis né, je n'est pas eu beaucoup de moment heureux dans ma vie. Je suis arrivé à Seattle en espèrant avoir un peu chance et je crois que j'ai bien fait car sinon je t'aurais pas rencontré"

Je le regardais dans les yeux. J'avais ma réponse voilà pourquoi il n'arrêtait pas de sourire. Je sentais mon coeur battre dans ma poitrine. Je m'attendais pas à ce qu'il me dise ça. Ma respiration se fit saccadée, je le regardais toujours dans les yeux.
*Allez réponds-lui !!*
-"Kesto...je...je n'ai jamais rencontré quelqu'un comme toi. Tu es d'une gentillesse énorme, tu es l'une des premières personnes à qui j'ai parlé en arrivant au SPD. Au fur et à mesure des jours, j'ai su que tu étais quelqu'un d'expetionnel. Je tiens beaucoup à toi et je détrste te voir triste, ça me rend malade. Quand on m'a prévenu que tu étais à l'hôpital, j'ai eu peur qu'ils me disent que tu sois mort, là je pense que j'aurais craqué. Je t'aime."
Je repris mon souffle après ce que je venais de dire.

" - Voila, ça fait maintenant cinq jours que l'on se connait et , tu m'a foudroyé par ta beauté, ta grace, ta gentillese, et ton visage. il est digne de celui d'un ange.Tu vois depuis quatre nuits, je rêve toujours de la meme personne, et cette personne c'est toi ! Alice, je t'aime."


J'étais touchée par ses paroles, très touchée même. Les larmes commençèrent à arriver, ce qui était normale après ce que je venais d'entendre. C'était très rare que je sois ému comme ça.
Je m'approchais de lui et lui déposa un baiser, mais cette fois je l'embrassais tendrement sur la bouche.
Une fois terminé, je lui souris.

Kesto me sourit puis m'embrassa à son tour. Son baiser était doux, comme celui que je venais de lui donner. Il me caressa le visage avec sa main. Il restait très doux avec moi. Je mis ma main dans ses cheveux, le décoiffant sous son passage.
Il continua à m'embrasser quand mon téléphone portable sonna. Je fis comme si je n'avais rien attendu mais le téléphone continua à sonner ce qui m'énerva. Je m'écartais de Kesto

-"Désolée." lui dis-je.
Je pris mon téléphone qui se trouvait dans la poche de ma veste.
-"Allo !"
-"..."
-"April ? Qu'est-ce qui se passe ?"
-"...."
-"Ca va il va bien."
-"..."
-"Je sais que je suis partis depuis un moment maintenant mais..."
-"...."
-"Il ne fallait pas t'inquiéter."
-"..."
-"Oui je t'appelerais quand je rentrerais."
Je racrochais. J'aurais du m'en douté que c'était elle qui avait appelé. Elle avait le dont pour gacher de très bon moments.

Nous nous embrassons toujours. Nos lèvres ne se quittent plus et les miennes ne sont pas prête de se séparer de celle d'Alice. Je continu de lui toucher ses doux cheveux et à lui carresser la joue. J'y lui caressais doucement le visage ,comme si je touchais du crystal hyper fragile et qu'il pouvait se briser à tout moment. Nous nous levons progressivement et allons en direction de la chambre, toujours en nous embrassant. Sur le chemin, nous nous arrêtons de temps en temps de marcher ,pour nous nous embrasser contre un mur.

J'ouvre la porte de la chambre en embrassant Alice. On n'arretais pas !
A peine avais-je le temps de m'allonger sur le lit avec elle, qu'un bruit ce fait entendre du salon. Un bruit semblable à une porte fracturée. Je m'lève tel un TGV afin d'ouvrir mon placard où je prend le fusil à pompe accroché derrière les manteaux. Toujours pratique un fusil dans sa chambre !

Les bruits persistent et des hurlements se fait entendre de l'autre coté de la porte. Sans nul doute, c'est mon cousin. Je regarde par la serrure et mon hypothèse se confirma. C'était mon cousin avec ses cinq gorilles.

Je murmure à Alice : - Ne bouge pas de là s'il te plait !

Nous étions en train de nous embrasser tendrement sur le lit quand un bruit attira notre attention. Quelqu'un venait de forcer la porte d'entrée.
Kesto se leva, ouvrit son armoire et prit un fusils à pompe.
Il regarda dans le trou de la serrure pour savoir qui avait pénétréer dans la maison.
Je me doutais de qui ca pouvais être. Matthew.

: - Ne bouge pas de là s'il te plait !

*Non pas question. Je n'allais pas resté sans rien faire.*

Je me leva et approcha de la porte.
-"Je ne resterais pas sans rien faire. Je vais t'aider."

- Tu sais te servir d'une arme ?

Tout le monde sait que les scientifiques ne sont pas réputés pour être des bons tireurs mais dans ma famille on eut "des cours" de tires par mon père et mon oncle. Mais ma soeur et moi n'étions pas très disons attentives.

-"Disons que j'ai des notions de bases."

- On y va à 3 !"
-"C'est quand tu veux."
-"1....2....3 !!!
Kesto défonca la porte se posisionna sur le mur d'en face et tira sur un garde.
- Tu n'aurais jamais dû venir ici Matthew !
*Ca c'est sur !*

Je vis un autre garde arrivé. Je le mis en joue. Sans attendre je tira deux balles qu'il recu en pleine poitrine.
*Jackpot !*

Kesto me dit de tenir le coup mais j'avais mal, très mal. Mais j'essayais de tenir le coup, pour lui.
Je vis qu'il tua les autres gardes puis il revint vers moi. Il compressait la blessure avec sa main mais je savais que ca ne servirais pas à grand chose.

- C'est fini ! Les urgences vont arrivés , et ils vont te soigner ne t'inquiête pas !

Je lui sourit malgrès ma douleur.
-"Tu sais c'est bizarre quand la mort approche. Tu commence à voir défiler toute ta vie entière comme un film sachant que la fin sera un grand trou noir."