SEATTLE TIMES
Vérité et objectivité
Mise au point sur le Black OutLa panne d’électrécité dont à souffert la ville hier a déchaîné les esprits. Une certaine presse s’est même emparée de l’évènement afin de propager ses idées politiques.
C’est pourquoi dans un souci de transparence nous vous proposons cette analyse réfléchie et étayée entre autre par une de nos journalistes présente sur les lieux Sofie Waters (en photo ci-dessus).
Tout d’abord en ce qui concerne les faits.
Oui le sud de Seattle a bel et bien été privé d’électrécité plusieurs heures durant. Cela a provoqué une demi-douzaine d’accidents de la route, et divers incidents tels que des débuts d’incindie, des gens bloqués dans les ascenceurs, et des pillages de magasins (limités aux zones limitrophes des quartiers sensibles).
Par contre il n’y a pas eu véritablement de multiples explosions de gaz. Un carambolage a eu lieu à proximité d’une zone de travaux sur une conduite de gaz. Cela a effectivement causé un retour de flamme très impressionnant.
Au niveau des dégâts on déplore juste quelques blessés : brûlures, et contusions principalements, mais aucun mort.
Plusieurs biens de consommations ont été volés, des véhicules endonmagés, et la circulation gravement pertubées.
Toutefois l’ordre fut rétablit en un laps de temps convenable, et les incendies maitrisés. Il est vrai que pour l’incendie lié à la conduite de gaz, un inconnu aurait aidé les employés de la voirie. Mais nous ignorions toujours son identité et ses motivations.
Au sujet de l’origine du sinistre, il n’est pas encore possible d’établir une théorie précise.
Malgré tout nous disposons de quelques précisions. Une source anonyme au sein de la police a révélé à Sophie Waters que la source de ses défaillances remontrait à la centrale électrique.
De plus contrairement à certains alarmistes nous sommes en mesure d’affirmer que cet incident ne correspond en rien à un attentat commit par des fanatiques islamistes.
En effet ces derniers usent en général d’explosifs, et surtout revendiquent leurs actions immédiatement après.
Il serait donc bon de prendre un peu de recul. La rédaction de notre journal ne veut pas dire par là, qu’il ne faut pas poser de question. Qu’il s’agisse d’un acte délibéré ou d’une négligence, les autorités ont des comptes à rendre aux citoyens de cette ville.