[DOM] Loft de Alain Massard

Je l'avais écouté jusqu'au bout et je m'attendais à tout sauf à ça. Non en fait c'était faux je m'étais douté depuis le début que quelque chose clochait. *Pourquoi voulais-je l'aider ?* Je ne le savais que partiellement mais j'avais commencé et je ne comptais pas m'arrêter. Il comptait pour moi et je ne pouvais pas le laisser dépérir de cette façon.

"- Massard..."

Il ne semblait même plus réagir. Je me levais et m'approchais de lui. C'est là que je remarquai que son avant-bras saignait. *C'est pas vrai.* Je pris le premier bout de tissu qui me tombait sous la main et l'appliquai sur sa blessure.

"- Massard..." soufflais-je.

Je levais ma tête vers lui et mes yeux étaient brillants. Des larmes se formaient répondant à la tristesse que je ressentais.

"- Tu as pensé à ceux qui t'aiment ?"

"- Tu as pensé à ceux qui t'aiment ?"

« Qui m’aime ? Je n’est quasi pue de famille ma mère ma donné ma part et elle c’est remarier oubliant son fils je suis arriver ici seul sans rien sans personne »

Je la regardai dans les yeux et vie des larmes. De mes main je lui ai sécher ces larmes et lui caresser tendrement la joue

*Pourquoi…*

« Vous m’aimez ?! »

Ma question me semblait absurde pourquoi elle m’aimerait ?

J'appuyais plus fort sur sa blessure et continuais à le regarder dans les yeux. A ce moment là j'aurais tout donné pour qu'il se sente mieux. Silencieusement je me dressai sur la pointe des pieds et l'embrassai sur le front. Puis je redescendis lentement pour me retrouver yeux dans les yeux.

"- Oui ... lui répondis-je alors que ma voix n'était plus qu'un souffle. et c'est ça qui me fait peur."

Je pris sa main valide dans la mienne et la serrai assez fort pour le faire réagir. Mon autre main était déjà ensanglantée, son entaille devait être profonde bien que je ne l'ai pas vu.

Je pensait que je rêver elle me dit qu’elle m’aime mais sa lui fait peur je tenait sa main fermement

« Vous m’aimez mais vous avez peur. Avez-vous peur que je ne vous aime pas ? »

Si c’était le cas elle pouvait se rassuré j’ai pas fait 10000km pour resté célibat tout ma vie et surtout pas raté ce moment ou je peut libérer mes sentiment.

Je le regardai et sentai que je faisais la plus grosse connerie de ma vie... ou alors je saisissai mon unique chance d'être un jour heureuse. *Au choix*

"- Non j'ai peur à cause de ce que je vous ai raconté... j'ai peur que vous fassiez la même chose et que je paie encore les pots cassés..."

"- Non j'ai peur à cause de ce que je vous ai raconté... j'ai peur que vous fassiez la même chose et que je paie encore les pots cassés..."

« Je vous ai déjà dit que j’avait perdue mon père quand j’avait 8ans et que je voulait pas faire la même chose qu’il l’a fait. Je sais que vous avez souffert dans le passez et je vous ai promis de vous protéger. »

J’ai passé ma main dans son dos et la caresse lentement

« Je vous aime et vous protégerez au prix de ma vie »

J’espérer que se soit la phrase qu’elle voulait entendre mais je ne savait vraiment pas se que je devais dire pour la voir sourire.

"- Je vous aime et vous protégerez au prix de ma vie.
- Arrêtez de me dire ça, vous vous êtes blessé je ne sais plus combien de fois depuis ce matin et ce volontairement alors ne me dites pas ça, parce-que vous me faites peur. Je veux vous voir vivre et sourire, c'est tout ce qui m'importe !"

Il m'avait profondément touchée et je voulais lui dire ça depuis longtemps. Il n'arrêtait pas de me parler de "mort" et tout ce que je voulais c'est qu'une fois au moins il me sourie, sincérement, parce-qu'il se sentait heureux. Je ne savais pas si j'avais le pouvoir de lui rendre ce sourire mais je devais tout faire pour essayer.

"- Et sachez que vous pouvez compter sur moi n'importe quand..."

« Si tel est votre souhait je resté a vos coté pour la vie »

Je commencé a plus sentir mon bras

« Mais avant tout vous savez coudre ? J’aurai besoin de quelque point j’ai du fil chirurgical et des aiguilles dans la salle de bain.»

*Coudre ? Il se fout de moi là ?*

"- Il vaut mieux que je t'emmène à l'hôpital."

J'enlevais le tissu de son bras et partis dans la salle de bain chercher un bandage que j'aposai sur son bras.

"- On ira à pied, ce n'est pas très loin de chez toi à ce que j'ai vu."

« Alors prépare moi le fils je ferait moi-même j’ai pas envie d’aller a l’hosto de plus me déplacé risque de m’affaiblir plus et je me soigne comme sa d’habitude t’inquiète pas »

Je m’étais levé et aller a la salle de bain

Je le regardais suspicieusement, à vrai dire je détestais qu'on me contredise mais je ne pouvais pas le forcer. Je pris le fil chir' et les aiguilles et me tournai vers lui.

"- Laisse je vais le faire..."

Je n'avais pas voulu risquer de mal faire mais ayant reçu une formation de premiers soins comme tout flic qui se respecte, j'en était largement capable.

"- Tu devras quand même aller à l'hosto, lui fis-je remarquer en commençant par désinfecter la plaie, je ne suis pas médecin."

Voyant sa grimace, je rajoutai.

"- C'est un ordre Massard et je t'y trainerai demain matin, de gré ou de force."

« Demain d’accord mais vas y n’est pas peur »

Elle commence a refermer mon bras je sentait la douleur mais c’était supportable et elle continue jusqu'a bien refermer mon bras. J’allais un peu mieux et je voulais la remercier

« Merci »

Et je lui avais donné un baiser pour accompagner mon remerciement.

Je répondis à son baiser et le terminai rapidement.

"- Désolée mais pas d'efforts pour toi aujourd'hui, dis-je avec un clin d'oeil. Je ne voudrais pas que tu risques de faire sauter mes points de souture."

Je rangeai un peu la salle de bain en gardant un oeil sur lui.

"- Je ne voudrais pas m'incruster mais je préférerais rester cette nuit pour éviter que tu fasses d'autres bêtises."

Même si mon ton était léger et ma voix calme, j'étais vraiment sérieuse sur ce dernier point. Quoiqu'il dise il avait besoin de moi.

« Sa me dérange nullement que tu reste pour dormir je te laisse mon lit je dormirait dans le canapé »

Je sort de la salle de bain et vais dans le salon et m’assoie sur le canapé histoire de récupérer un peu.

« Tu as prit des vêtement de nuit ou tu veut un t-shirt à moins que tu veuille dormir dans ton plus simple appareil »

Dis je avec un petit sourire

"- Ah non pas question tu es chez toi, TU dors dans TON lit, JE prends le canapé et NON on ne discute pas allez hop."

Je lui fis un grand sourire et l'embrassai sur le front. Puis constatant qu'il était chaud je mis main sur ce dernier.

"- Et voilà, tu as de la fièvre, bravo !"

Je le regardais, l'air désaprobateur et lui tendis ma main.

"- Viens on va dans ta chambre, voyant qu'il allait protester, c'est ça ou l'hosto, tu choisis ?!

Je la suivait est ont étaient dans ma chambre elle devant moi je la pousse et elle bascule sur le lit elle se retourne sur le dos et je m’était plaquer sur elle une main posée sur son ventre que je caresse tendrement l’autre dans ces cheveu et mes lèvre se ballade sur son visage. Je la sentais se raidir et par moment se relâcher elle soupirait par moment comme si elle avait attendue sa toute la soirée.

Je m'étais laissée aller pendant quelques minutes mais on ne devait pas le faire, pas ce soir.

"- Massard, tu n'es pas en état, je ne veux pas te faire mal."

Je l'embrassais avant de continuer.

"- Je reste ici à la condition que tu sois sage. Je te rappelle que tu as de la fièvre."

Je plongeai mes yeux dans les siens et lui fit comprendre que j'étais sérieuse.

« Ne tinquiéte pas »

Je m’était léve pour enlevé ma chemise et me suis recouché a coté d’elle et j’avait prie sa main. Et je l’avait attiré vers moi

"- Justement JE m'inquiète alors tu vas me faire le plaisir de m'obéir... et d'ailleurs j'aurais besoin d'un tee-shirt."

Je détestais faire ça si brutalement mais je ne voulais pas qu'il risque quoi que ce soit.

"- On a tout notre temps Massard, alors soit raisonnable."

Pas que je n'en avais pas envie, loin de là mais aujourd'hui c'était lui qui prévalait.

« Regarde dans l’armoire à droite »

Je m’était levé et enlevait mon pantalon me retrouvant en boxer. J’appuis sur l’interrupteur et la lumière se tamise. Je m’était rallongé et m’était mi sous le drap.

Je sortis un tee-shirt beaucoup trop grand pour moi et me changeai dans la pénombre. Je me glissai moi aussi sous les draps et me blotissai contre lui, dos contre torse, comme d'habitude.

"- Dors... je crois qu'on a tous les deux eu assez d'émotions comme ça..." dis-je d'une voix douce.

J’avait mit mes bras autour d’elle et l’embrassa dans le cou

« Bonne nuit »

J’avait enfuie mon visage dans son coup et ferme les yeux

5h30 je m’était réveillé et admirer Roxann qui dormait encore

*Dieu qu’elle est belle*

Je me lève lentement sans la réveiller et me dirige vers la cuisine ou je prépare du café et des croisant maison.

20 minute plus tard tout était prêt et j’ai prit un plateau y dépose un tasse de café et des croisant et revient dans la chambre je dépose le plateau sur une table et j’avait embrassé Roxann dans le cou et elle ouvrait les yeux légèrement

« Bonjour princesse » dis je d’une voit douce.

"- Bonjour princesse" dit-il d’une voit douce.
- Humm, salut toi..."

D'un baiser je l'attirais vers moi puis remarquai le petit plateau posé à côté sur le chevet. Surprise je le lachai et il s'effondra sur moi. Je ne pus m'empêcher de rire même s'il m'écrasait.

"- Tu as fait le petit déjeuner ? Je crois qu'on va très bien s'entendre alors !"

Je pris un croissant et le dégustai. *Arf j'aime cet homme... ou alors c'est le croissant qui me fait cet effet.*

Je lui avais donné un baiser sur le front

« Je vais prendre un bain régale toi »

Je l’avais quitté pour aller prendre un bon bain. J’avait fait coulé l’eau a bonne température avec plein de mousse enlève mon boxer et j’était rentré dedans

« Hmmm sa fait du bien… »

J’avais fermé les yeux pour me détendre

» Alain Massard [Scientifique]
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