Dmitri Walkersky [Inspecteur]

Nom : Walkersky
Prénom : Dmitri, Aleksendr
Surnom : Dmi ou Tovaritch depuis son affectation au SPD
Date de naissance : 21 avril 1974
Age : 31 ans
Lieu de naissance : Leningrad (St Petersbourg)
Taille : 1m79
Poids : 65kg
Cheveux : Chatain clair
Yeux : Bleu-vert
Situation familiale : Celibataire
Signes particulier : Deux cicactrices de balles, l'une au niveau de l'omopalte droit et l'autre sur le bras droit.
Formation (études & expérience professionnelle) : Expérience d'officier du MVD (Ministerstvo Vnutrennikh Del/ Ministère des Affaires Internes) dans la section Renseignements en Tchétchénie et d'inspecteur de la Crimminelle à Moscou
Poste : Inspecteur
Domaine : Russe, Armement, Interrogatoires

Histoire : Dmitri est le seul enfant de Katarina Borgona, une employée de bureau, et de Sergei Walkersky, un ouvrier dans l'une des usines de Léningrad. Les premières années seront les meilleurs de sa vie entre l'amour de ses parents et la découverte des études dès l'âge de 6 ans. Passionné d'histoire et de langues, il rêve de pouvoir aller à l'université et de partir en Occident pour parfaire ses propres connaissances dans l'anglais et dans les domaines qu'il aborde. Adolescent, il vit les changements de la Nouvelle Russie qui commence à s'ouvrir vers l'Occident et à mettre fin progressivement à la Guerre Groide. Et commence à rêver de pouvoir visiter l'Europe et l'Amérique...
En juin 1989, son père meurt d'un cancer des poumons, laissant lui et sa mère seul dans l'appartement qu'ils venaient de s'acheter en banlieue de Léningrad. Et quelques mois plus tard, le mur de Berlin tombait, comme l'ancien empire russe.
En 1991, il terminera ses études secondaires pour pouvoir rentrer à l'université d'Etat de Léningrad ou Moscou et vit de loin, le putch raté des militaires et députés communistes contre le Président Gorbatchev et verra, comme sa mère et le peuple russe, l'ascension de Boris Elstine et la fin de l'URSS.
A la fin de ses examens du secondaire, il décide de rentrer à l'Université de Sciences Politique de Léningrad et passera sa première année avec succès. Mais en 1994, l'armée m'appele sous les drapeaux et il sera affecté au sein du MVD, section Renseignements quand la première guerre de Tchétchénie éclatera.
Comme de nombreux appelés, il vivera l'enfer et la défaite d'une guerre que le Gouvernement et les officiers supérieurs ne leurs avaient pas préparés. Et en tant qu'officier du Renseignement, il vécu de près les tortures et les massacres de l'armée russe sur la population tchétchéne. En juillet 1995, durant une mission sur le front, il sera toucha par deux balles "rebelles" durant l'attaque du convoi qui le transportait. Il sera plus de trois mois en convalescences dans un hôpital militaire. Il reprendra du service jusqu'au cessez-le-feu de 1996, même si le coeur n'y est plus depuis le début de cette "sale" guerre...
A la fin de la guerre, il trouvera un poste d'inspecteur au sein de la police moscovite où il ressoudera un douzaine d'affaires en moins de quatre ans, sur des meurtres et des crimes sexuels, dans une Russie qu'il ne reconnait plus.
En 2000, sa mère meurt d'un infractus durant son sommeil laissant Dmitri seul sur ce sol où il ne trouve plus sa place. Pendant presque deux ans, sa vie ne tournera qu'autour des vestiges de son propre passé et de ses cauchemars à répétition qu'il fait chaque nuit.
Puis un jour, il décidera de partir pour les Etats-Unis, avec quelques affaires et les maigres économies qu'il a pu mettre de côté, loin de ses origines et de sa famille morte.
Il s'installera dans la banlieue de Seattle, après avoir eu sa carte de séjour et déposera sa candidature au SPD. Il sera accepter dans les rangs, après un exam écrit et physique, où il sera affecté au Central de Seattle.

Caractère : Pour certains, il est un être froid et sans sentiments particuliers. Pour d'autres, c'est quelqu'un qui a vu le visage caché de l'Homme durant son expérience militaire en tchétchénie, même s'il veut jamais parler de cette période de sa vie et de sa vie passée par la même occassion, à qui conque. Il peut être aussi d'un tempérament brutal quand les suspects ont l'audace de le provoquer de quelque façon. Certains policiers ont le souvenir d'un suspect tabassé à mort, durant un interrogatoire, car celui-ci avait insulté la personne qu'il avait tué. (Le rapport médical dit qu'il aura plus de 37 points de sutures sur le visage et un traumatisme cranien!)

Autres : Il est psychologiquement et phsyiquement fatigué par ses deux ans en Tchétchénie qui l'oblige depuis à prendre des antalgiques pour ses douleurs à l'épaule et au bras, et boire pour oublier les visages de ceux qu'il a pu torturé ou qu'il a ordonné de torturer, même s'il suivait les ordres... Mais sa morale refuse cette voie facile...