Bureau de Kesto Gar

j'étais à mon bureau quand mon telephoen sonna

"Allo ?
*************
-AH salut john !
-**********************
-il est trop con lui ! disais-je en riant
-*******
-ok

je raccrochais

Il était tard ,vers 23 heures , et il n'y avait personne au bureau .Toute les lumière était éteinte sauf une la mienne.Je me levais , pris mes affaires et allais vers les casiers de quoi deposer mes affaires et partir.

J'arrivais dans mon bureau ,je m'assis sur la chaise de bureau et pensais sans calculais qui que ce soit.
J'avais passer une salle nuit à surveiller john.
Je pris mon portable et regardais si j'avais reçu des appels mais rien...
J'avais pas eu de nouvelle sur la personne sequestrée donc je ne savais pas si on avait echoué dans notre equêtes.

*Esperons que Alice a été là à temps !*

Sujet: Re: Bureau de Kesto Gar Sam 10 Sep 2005 - 21:00

Je suis restais à mon bureau toute la matiné à reflechir.Pendant ce temps,il y avait du monde dans la salles,les téléphone sonnaient.
Mon telephone avait sonnait lui aussi.Je regardais qui c'est qui m'appellais et vis le nom de John s'affichait.Mais je ne repondis pas et le reposa sur le bureau.Je regardais les photos ,posaient sur mon bureau,une par une.
Après ça,je repris mon portable et le mis dans ma poche.Je me levais lentement,remis la chaise comme il faut et partis vers le bureau de Lefebvre.

Bureau de Lefbvre

Sujet: Re: Bureau de Kesto Gar Lun 3 Oct 2005 - 19:43

Je m'assis sur ma chaise et plaça mes affaires.Mon mal de crâne se fait de plus en plus insupportable.Fallait que je me trouve un medecin légiste pour qu'il me donne un aspirine.

Sujet: Re: Bureau de Kesto Gar Lun 3 Oct 2005 - 21:18

Peu de temps après , on vient m'informer qu'un terroriste séjourner à Seattle et que des inspecteurs devaient se rendre au 52 Hudson street.J'accpetai l'affaire,me levai de la chaise en vitesse,mis ma veste,chargea mon arme et partis vers le bureau de Lefebvre.

Sujet: Re: Bureau de Kesto Gar Sam 15 Oct 2005 - 13:20

Je m'installais sur la chaise de mon bureau d'une vitesse assez lente.Le choc était encore présent dans mon coeur alors j'eu decidé d'appeller une personne qui aurait pu me le dire bien avant :

Ma mère...

Je pris mon portable et essaya de me rappeller de son numéro que je n'avais pas composer depuis bien longtemps.Quand je m'en suis souvenu ,je le tapoter sur le clavier du portable et attendit...
Malheureusement ce n'est pas elle qui m'avait repondu.Enfin,pas exactement,c'est plutôt sa voix du repondeur.

"Laissez moi un message apres le bip."

Le bip resonna dans ma tête et je repondis d'un air un peu secoué,sous le choc.

"Bonjour Maman,c'est moi ,ton fils ainé,si tu te souviens encore de moi.Je viens d'apprendre une nouvelle qui me donne presque envie de vomir.J'ai fini mon enquête avec mes collèges de boulot et on a mis en cage un dangereux violeur-psychopathe complètement taré !Alors voici la "terrible" nouvelle , on arreter un certain John Cooper...ou je peux dire : On a arreter papa ."

La dernière phrase je l'ai dit avec beaucoup de colère puis je raccrocha aussitot après la phrase fini et resta dans mon bureau en attendant qu'on me propose une enquête ou quelques chose qui puisse me défouler les poings.

Sujet: Re: Bureau de Kesto Gar Dim 16 Oct 2005 - 15:00

De retour à mon bureau , je ne sais pas trop quoi faire.Je regarde ma montre qui m'indique midi et demie.Je commence à avoir faim ,des terribles douleurs d'estomac qui me fond presque allongé sur le bureau.
Je n'ai vraiment pas envie de perdre du temps à manger alors je prends des coupes-faims.J'en prend quelques un qui finissent la boite.Je la jete dans la corbeille qui se trouve au pied ,à droite du bureau et me leve de la chaise.
Je la range correctement ,marche ,me passe la main gauche dans mes cheveux et sortis de la salle commune des inspecteurs.

Sujet: Re: Bureau de Kesto Gar Dim 30 Oct 2005 - 20:21

Je m'étais endormis sur mon bureau et c'est juste maintenant que je viens de me reveiller avec un mal de tête. Je lève la tête et regarde autour de moi avec les yeux à moitié fermés, personne n'avait fais attention à moi et tant mieux ! J'éloigne la chaise du bureau parce que j'étais bien trop près. Je regarde ensuite les autres inspecteurs qui sont présent dans la salle et il n'y en a pas beaucoups. Je jete un coup d'oeil quelques minutes plus tard les dossiers qui sont posé sur mon bureau mais comme je viens à peine de me reveiller, je les mets de coté et me lève.
D'après ma montre, il est deux heures et demie passé. Le mal de ventre de ce matin me revient, il faut que manger quelques chose si je ne veux pas tomber à nouveau dans les pommes et avoir des problème de santé qui suivent.
Après avoir remis ma veste correctement, je part pour chercher à manger dans tout le central.

Je viens d'arriver à mon bureau avec quelques minutes de retard, ce qui m'arrive souvent depuis quelques jours. Pendant ces derniers mois, je m'étais battu pour obtenir la garde de mon enfant, sa mère n'était plus " capable" de s'en occuper. Le juge m'a laisser Kevin parce que sa mère a quelques problèmes avec l'alcool et avec son nouvel époux. Mon pauvre Kevin...C'est peut-être pour ça que tu ne m'appellais pas pendant tout ce temps. Mais maintenant, c'est fini, il est à Seattle et il est à present dans sa nouvelle école. J'espère qu'il va se faire des amis parce qu'il est extrêmement timide : un défaut qu'il a hérité de son père, malheureusement.

Quant à moi, je suis à mon bureau, sans enquête...Je fouille désesperement les dossiers sur mon bureau tout en me tenant la tête, pas parce que je suis fatigué mais parce que j'en ai marre, je voudrais de l'action, mais je sais que je suis pas pret d'en avoir...
Le jour de Noel arrive à grand pas, on est déjà en décembre et je ne l'avais pas vraiment remarquer. Heureusement que les décorations de Noel sont presentes dans les rues. Il y a des guilandes, les arbres sont décorés eux aussi, et les magasins sont aussi embellit que la ville.
Le central quant à lui, n'avait pas de décorations, du moins pas pour l'instant. S'il y en aurait, ça donnerai un peu plus envie de bosser.
Je detache de secondes mon regard des dossiers de plaintes, pour jeter un bref regard à ma photo posée sur mon bureau. En quelques mois, il faut dire que j'ai vieillit. La trentaine passe vite, j'ai déjà 33 ans. C'est impressionnant comment le temps passe vite, je me fais vieux alors que dans ma tête j'ai la vingtaine.

Je replonge mon attention sur mes dossiers, ça décourage un peu quand tu vois tout ce que tu dois faire, il doit bien y avoir une dixaine. Mais bon, je m'en plaind pas, je suis assez heureux d'avoir une job qui me plait vraiment - en dehors des dossiers à éplucher -.

Ca fait plusieurs minutes que j'attend, j'épluche les dossiers non-important. Je commence vraiment a en avoir marre. Des plaintes pour tapages nocturne, agressions , stationnements...C'est ridicule. Je veux des dossiers qui vaut la peine d'être lu, des affaires importantes. Quand est-ce que Connor me donnera enfin un truc solide, que je passe un peu mes nerfs sur les meutriers, j'ai besoin d'action. Je trouve que j'ai énormement changé depuis sept mois, j'ai changé de comportements envers les criminels mais l'ancien Kesto est là, toujours aimable et généreux.

Je pousse les dossiers de la main pour les mettrent de coté. Je regarde ensuite à coté de moi, à travers la fenêtre. Il commence à neiger, c'est merveilleux, même s'il fait froid, on aime la neige : c'est joli à voir. Seattle est couvert d'un voile blanc, les décorations de Noel sont sublimes. Il fait presque nuit alors qu'on est le matin, on a l'impression que ce jour est un Dimanche tellement le soleil n'est pas au rendez-vous. Je souris legèrement en observant les personnes dans la rue, certains sont chargé de cadeau alors que Noel est dans une semaine et demie.
Je détache mon regard pour le poser sur mon environnement, mon millieu de travail. Ca stresse, on entend sans cesse les sonneries de téléphone qui sonnent tous en choeur, j'ai la tête qui va exploser si je reste ici.
Je me lève de mon bureau et remet la chaise bien en place avant de quitter la salle commune des inspecteurs. J'allais voir la seule personne qui pouvait me déstresser et me faire sourire : Alice.

Je me dirige vers le labo, c'est là qu'elle doit être...

On est le matin et j'ai toujours rien à faire comme d'habitude. L'ennuie devient la routine pour moi et plus ça dur, plus je dois avaler quelques médicament pour lutter contre le mal de tête. Quand je reste planté là, assis sur mon bureau, observant les policiers faire des aller et venus dans cette salle ça me donne legerement le tournis. J'ai beau faire cent fois le tour du Central et parler avec quelques hommes en uniformes et les femmes de ménages, je trovue rien d'interessant. Resultat, je reste assis, comme un vieux près de mon bureau en attendant que le Capitaine vienne crier mon nom en disant : " Gar ! Une enquête !", mais plus j'attend, plus je me dis que ça ne sera pas demain, ni aujourd'hui qu'on va m'annoncer ça...Ce boulot me lasse, se lever à des six heures du matins pour étudier quelques dossiers arrivé les huit heures m'ennuie. Je manque même parfois de m'endormir debout ! Donc, pour m'occuper, je joue avec mon stylo bille !...Ca m'enerve, moi qui suis une personne très active !
J'imagine et craind à tout moment que la directrice de l'école de mon petit Kevin m'appelle en m'anonçant qu'il s'est encore battu. Sacré Kevin...J'étais comme ça petit, mais lui, j'espère qu'il va changé. Sinon j'ai peur pour lui, se retrouver viré de son école ça pourrait être très grave.
Bon...j'en ai marre de rester planter là à rien faire. Les telephone du central sonnent et resonnent tous en choeur et ça me file la migraine à force.
Vite ! Il faut que je parte ! Je reprend un autre cachet d'aspirine et m'en vais loin de cette foutue salle. Besoin de prendre l'air un peu. Je previens à l'accueuil que si le Patron me cherche, qu'elle me bipe et qu'en attendant et ben... je vais faire un tour !
Sayonara !

Hopital Rolling Eyes

Je rentre dans mon bureau directos après être sortis de l'hopital, j'y ai passé la nuit, quelle horreur ! Ca sent le medicaments à plein nez là-bas, et la bonne hypocrisie. Je suis rapidement passé dans quelques bureau administratifs du Central, histoire de recevoir une nouvelle arme de service, l'enfoiré d'nazi a pris l'ancienne...A entendre les collègues parlaient, je distingues quelques phrases, des murmures et parfois mêmes des eclats de rires qui ne me laisse pas indifferent mais plutot heureux. Les deux terroristes sont HS, bien fais pour eux, fallait se la jouer gentil, c'est mieux...
Je me prend quelques médocs, des anti-depresseurs cencé me déstressé et arrêter mon mal de crâne...Supposé !
Je suis au paradis quand je sens mon arme accroché solidement à l'holster. C'est toujours aussi jouissif de se sentir un peu plus puissant que d'habitude.
Plus le temps passe, et plus je m'emmerde... Aucune nouvelle des deux autres, Malone et McAllen, j'espère qu'ils vont bien. Il parrait qu'hier ils ont fais une petite descente au "America Flag", avec l'equipe de SWAT pour neutraliser tout ce bordel de Nazis, ça m'rend encore plus heureux.
Ok, c'est bon, je m'emmerde à un tel point que je manque de faire un somme sur mon bureau. Je me lève tranquillement et decide de quoi faire... d'interessant. Et merde y'a rien à faire à Seattle ! J'vais demandé à être muté, à New-York, y'a plus de délinquants sanguinaire...
Tout compte fais, je reste à mon bureau, attendant qu'une personne vienne m'aborder...Et pitié, pas les gars de l'OPA !!

Soudain...il me vint une idée. Etant assis sur ma vieille chaise de bureau à me tourner les pouces tandis que les autres s'amusent en ville à traquer les criminels, j'ai une envie de téléphoner, ce qui n'arrive jamais. J'ai toujours detesté parler au téléphone. Pour moi, si tu as envie de dire quelques choses a quelqu'un, tu te deplaces ! Mais là, j'allais pas aller à New-York pour tapper la discute pour seulement deux petites minutes...
Je telephone donc à mon cousin, rapidement, je le supplie convenablement à signer l'armistice entre moi et lui. C'est hyper difficile, mais j'ai les arguments pour. Je lui dis les trucs qu'il veut entendre, dans le ton qu'il veut les entendre et m'escuse pour tout. Comme un lache, mais tout est lache... Après une demie-heure de parlotte, il finit par accepter mes escuses. Je lui explique vivement le problème avec l'OPA, et tout les détails à ma connaissance. Il rit sadiquement et je manque de lui dire " Ta gueule enfoiré !". Je lui pose pleins de question, il m'informe de tout. J'essaie de lui degoté un de ses avocats, il est Gouverneur de son état alors il connait pas mal de bons avocats...Après tout, c'était le but de toute ses escuses ! Il me dit que ses avocats sont très chères et que c'est pas de mes moyens... Je soupire, puis il finit à m'en trouver un par trop cher. Je refuse, je le connait et c'est un vrai con... Je lui demande son aide, il dit qu'il va voir ce qu'il peut faire puis me raccroche au nez.

Plus tard, quelques minutes après, je compose le numéro des renseignements et demande le cabinet London Lawyers, afin de trouver un avocat...
Ca sonne...Il manque plus que la Secretaire du cabinet reponde...

[MJ ?? S'il te plaaait !! ]

Nombre de messages : 948 Date d'inscription : 12/08/2005

La voix d'une jeune femme se fit entendre à l'autre bout du fil.

"Cabinet d'avocats London Lawyers, j'écoute ? "

Quelques seconde après, la secretaire du cabinet d'avocat me repond enfin. Elle m'a l'air crevée, enfin bon... Elle repond par la traditionelle phrase des entreprises en me signalant que je me suis pas trompé et que le coup de fil est bien au bon endroit. Je pose mes pieds sur une petit surface en dessous de mon bureau, plonge ma tête en arrière vers le dossier et repond :

"- Bonjour Madame, comme vous le savez je vous appelle pour un avocat..."

Je sais pas trop quoi dire, j'ai jamais eu à faire avec la justice. C'est mes collègues et moi qui la font alors...J'attend la reponse de la secretaire, en m'interrogant : "J'ai fais une gaffe ? J'aurais dû y aller molo ??"

Nombre de messages : 948 Date d'inscription : 12/08/2005

Il y eu un petit blanc avant que le secrétaire ne reprenne.

"De quel type d'affaire s'agit il Monsieur ? je vous mettrais en relation avec l'avocat qualifié."

Elle me demande quelle type d'affaire il s'agit. Je soupire un instant en repensant à tout ce que m'a dit l'autre agent de l'OPA, ce matin à l'hopital. Mais vraiment, quel enfoiré ! Je m'assois correctement sur mon bureau, tout en scrutant un peu les environs pour savoir si les autres inspecteurs m'ecouter. Quelques uns, je me lève de mon bureau et va dans un des coins de la salle, en repondant à la secrétaire une fois en lieu sur. Je ne savais pas pourquoi, mais j'avais honte. Honte d'être humilié de la sorte par un connard de l'OPA...

- OK... Je me presente, Inspecteur Kesto Gar, Police de Seattle...Alors on m'accuse de complicité avec un terroriste pour une évasion dans le central, si je m'en souviens bien. Une affaire contre l'OPA. Je dois paraitre devant la comission de discipline et j'ai besoin d'un de vos avocats...Il parait que ce sont les meilleurs !

J'eu un petit sourire nerveux, invisible à travers le combinet....Qu'est ce qu'il faut pas dire !

Nombre de messages : 948 Date d'inscription : 12/08/2005

"Très bien Monsieur. Je peux vous prendre un rendez-vous avec Maître Zat d'ici demain matin. Pouvez vous demander à votre direction de nous faire parvenir le dossier à notre cabinet ?
L'adresse est à donner au nom de Maître Zaccarias Zat.

Cela vous convient-il ? "

Je reflechis vaguement à ce qu'elle vient de me dire, puis me dis que le coup de fil est presque terminé. Ouuuf ! Merci, parce que j'ai horreur de parler au téléphone. Je verifie que tout est bon de mon coté, puis accepte.

- Ca me va ! Je ferais parvenir le dossier dès aujourd'hui. Le rendez-vous demain à quelle heure ?

Oh la vache ! La honte que je me tappe ! C'est que je stresse en plus !!!

Nombre de messages : 948 Date d'inscription : 12/08/2005

"Présentez vous à 8H au cabinet d'avocat je vous prie. Maître Zat vous attendra dans son bureau. Au revoir Monsieur."

La communication coupa. Visiblement la secrétaire était débordée d'appels.

La conversation téléphonique est finie depuis maintenant plus de cinq minutes. Je me suis rassis à mon bureau. Alors que les autres inspecteurs parlent entre eux, et que des tas de personnes circulent derrière moi, se faufilant entre les differents bureau... moi, je reste silencieux, fixant le coin d'la table. J'gamberge sur plusieures choses, plusieurs possibilité d'échappatoire, justement pour éviter la taule...Mais qu'est ce que je raconte, moi ? Je suis innocent ! J'ai qu'à dire la vérité et tout se passera bien...J'en sui sûr !
Ca ne m'empeche pas de rester silencieux comme une taupe pendant plusieurs minutes, bloquant mon regard sur nulle part. Pourtant, la salle est bruyante...
Je sors mon paquet de cigarette et me prepare en en piquer une du paquet. C'est alors que mon regard croise la pancarte : Don't smoking". Je soupire d'agacement.

- Raaah !!

Je le range furtivement puis fixe les allentours. J'vais voir le representants de l'OPA maintenant, ou je reste assis bien sagement à mon bureau ? J'ai pas envie de les voir pour le moment, et pourtant...Je dois paraitre au tribunal dans moins d'un mois, et faxer des documents à mon "avocat"...Rah ben non, pas envie...
Besoin de me detendre, allez ! D'toute façon y'a rien à faire !!
Adios débilos !!

Salle de repos !

Parking et Grille d'entrée.

Lorsque j'atteind finalement mon bureau, je cours sur les derniers petit mètres qui m'y sépare. Je viens d'avoir des attaques, le medecin m'a fortement conseiller de prendre mes médicaments sous peine de détruire tout sur mon passage, d'oublier les evenements des dernières heures et empirer ma paranoia. Je fouille nerveusement dans le tiroir de mon bureau, faisant tomber quelques unes de mes affaires personnelles au passages. J'm'empare fermement de ma boite de médocs et fais sauter le capuchons en l'air d'un mouvement du pouce droit. J'penche ma tête en arrière et avale les quelques géllules blanches qui reste, avant de jetter la boite dans la corbeille. Ensuite, j'm'allonge presque sur ma chaise de bureau et avale lentement mes gellules, les laissant quelques secondes de plus dans ma bouche avant de les avaler...
Je sens déjà l'effet des medocs m'envahir doucement, mais ce n'est peut-etre que c'n'est que psychologique ce qui m'arrive... J'y suis peut-etre drogué à tout ce bordel !

Une minutes plus tard, après m'être calmer, je me redresse bien comme il faut sur ma chaise et attrappe le téléphone posé sur mon bureau...Mon mobile n'a plus de crédits alors...
Je compose le numéro de mon medecin, et lui parle quelques instant avant de lui demander la chose importante, qui est le but de mon appelle...

" Tu pourrais m'envoyer mon dossier médical s'il te plait ?...Oui, c'est pour une affaire importante...C'est très important !

Il accepte. Je lui refile le numéro de mon avocat, qu'il note et le remercie. Il va envoyer tout le dossier, ce medecin n'a que ça à faire on dirait...Je le remercie, puis raccroche.

J'étais assis près de mon misérable bureau, enfin plutot allongé et faisait la sieste, la tête plongé en arrière, la bouche ouverte. Mon sommeil se fit perturber quand une personne vint me reveiller. C'était un des pote à moi, il s'appellait Hiroki Shuji, un Japonais qui a rejoind le SPD depuis plus de quatre mois maintenant. C'est un pote, et c'est lui qui me reveilla.
Je lève la tête, l'air perdu, je m'étais assoupis quelques seconde et c'est en jettant un oeil à mon portable que je vis que je dormais depuis près une vingtaine de minutes.
Hiroki ne parlait pas très bien Anglais, alors je devais lui parler Japonais.

[En Japonais]

[K]- Pourquoi tu m'a reveillé ? Dis-je encore dans les vappes et en douceurs, les yeux à moitié fermés.

[Hiroki:] L'alarme vient de sonner à l'accueil, c'est un coup pour toi mon pote ! Un braquage au Gold Rush, à dix minutes d'ici...

Je reflechis un moment. Tout ce qui m'arrive en c'moment, je crois qu'il serait temps que je me fasse oublier un peu. Et c'est au bout de quelques brève seconde, après qu'il ait insisté que je me lève sans attendre, en vitesse, me passant la main au visage pour me reveiller.

[K] Ok...

[Hiroki:] Fais pas trop de dégats cette fois-ci !

[K] Ferme-la , c'est sérieux !

J'prend mes affaires, puis me tire d'ici, après avoir pris ma caisse...

Gold Rush

Gold Rush...

Je me suis assis à mon bureau dès que j'ai penetré le central, j'y passe mes journées en ce moment. Bureau, salle de repos, maison-dodo, c'est ça mon quotidien ! Enfin là, faut avouer que sortir un peu pour arreter quelques malfrats ça m'a fais plaisir, même s'ils se sont enfuits et démolis ma Mercedes au passage. J'ai fais le trajet à pied, l'avantage de cette mission, c'était qu'elle ne s'était pas déroulé très loin...
Une fois assis à mon bureau, mon telephone se met à vibrer dans ma poche, j'attend un instant qu'il s'arrete, mais il continue. Alors je le prend en main et decorche aussitot.

- Allô ?! Oui maman qu'est ce que tu veux ??....Attend que je vérifie...Nan, j'ai pas de temps à t'accorder désolé !!

J'allais raccrocher, mais impossible, pourtant j'aurais pû...

-... Nan...Je ne te donnerais pas d'argent non...Pourquoi ? T'ose me poser cette question ?! Et une tel somme en plus !...Pour que tu en fasses quoi ? Que tu t'achetes des drogues, des bouteilles de bières qui occupent plus le frigo que des aliments indipensables ?...J'ai 33 ans tu sais, je suis en âge de dire "non". C'est bizarre cette sensation, hein ? D'être rejeter, de se sentir seuls, dans un coin paumé de Détroit, vivant dans une caravane...Et ben c'est ce que tu m'as fais vivre tu vois, tu nh'as jamais fais attention à moi, tu m'enfermais dans ma chambre, tu me privais de tout, et j'étais ton esclave le plus servant. Tu ne m'as rien donné, rien appris...Ah ben oui, c'est ça ! Ca ne serait un de tes mensonges encore une fois ?... C'est Jimmy qui m'a tout appris, pas toi, espèce d'alcoolique dégénérée, je rentrais à peine de l'école que je te voyais déjà inerte devant la caravane, une bouteille de vodka à la main, tu crois que ça n'a pas été traumatisant ça ??...Ben sûr ouais ! Et tu dis que tu m'aimais ?!

Je laisse échapper un rire nerveux.

- Papa est en taule pour viol suvit de meurtre, Maman est une alcoolique et droguée qui a passée cinq ans de sa chienne de vie dans des centres de désintoxication, Grand-Frère est mort troué de balle...En a-tu eu de la peine ??? Maman, aujourd'hui j'ai le courage de te dire ça, à 33 ans...Je te hais ! Tu me dégoutes à un point ! Que toi-même tu ne pourrais te l'imaginer. Et tu pretends m'aimer, comme ça je te paie toute tes petites drogues naivement. C'est fini tout ça, tu n'es rien pour moi, tu n'as été qu'un bourreau durant toute ma vie, pour ta fête des mères, va te faire cuir un oeuf, je ne t'acheterais plus jamais rien, parce que mes cadeaux, tu les a toujours foutu à la poubelle, et puis, avant de pouvoir recevoir quelques chose de ma part , poses-toi rien qu'une seule question : Ai-je été une bonne mère ? Ai-je été une mère tout court ???

Suite à cette phrase, je raccroche. Je lui ai révélé ce que je pensais d'elle, et pas en bien. Je la deteste...Elle a vraiment été dur avec moi. Les autres adolescents, qui se plaignent que leur parents ne les écoutent pas, et qui sont privé de console, ont une belle vie. La mienne a été pire...

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